La verite sort du puits

Ce soir-là, au fin fond de la campagne de l’Aude, c’était un bonheur désarmant d’être dans une salle à manger, entouré de vins de la région (beaux et décidés), et d’autochtones bienheureux. Des adresses comme ça, on en redemande.

Pour ceux qui aiment lire


  • gould
    20 décembre 2007 at 14 h 49 min

    Le plus appétissant n’est pas dans l’assiette, mais plutôt la demoiselle nippone assise à vos côtés 😉

  • Archie
    20 décembre 2007 at 17 h 19 min

    Chez Jean-Marc Boyer, chaque assiette a le goût de la bienveillance, de la franchise et du talent. Quand arrive l’addition, on est tenté de rajouter à côté du total un point d’interrogation, tant le rapport qualité-prix paraît surréaliste. On ressentait probablement la même impression de gentillesse et de douceur en parlant à l’abbé Pierre ou à Gandhi. Après le repas, on ne pense plus qu’à faire le bien autour de soi, ça paraît tellement simple.
    Alors qu’en réalité c’est très compliqué. Merci pour ce petit voyage par procuration, vous avez su capter la chaleur du Puits, et votre chronique me tient lieu de cheminée.

  • Jacques Perrin
    20 décembre 2007 at 21 h 19 min

    Adresse vraiment alléchante : tous les plats proposés nous parlent vrai ! Que voulez-vous dire par une « doxa terrible » ? Ai-je bien compris ? Boire du Pinot Gris de mon ami Ostertag au fin fond de l’Aude, ça c’est original mais pas très sympa pour tous les vignerons de la région qui commencent à faire des vins blancs sympas. Goûtez par exemple le Vermentino du domaine Cantaussel ou les vins de Catherine Roque, pour ne citer que ceux-là. ça s’appelle l’esprit d’ouverture…

  • Jean-Philippe
    21 décembre 2007 at 10 h 39 min

    Le publi reportage ci-dessous a-t-il sa place dans les commentaires du reportage ?

  • gould
    21 décembre 2007 at 12 h 58 min

    A mon avis rien à faire.
    M.Simon, victime de son succès, va devoir illico se doter d’un modérateur pour éviter ce type d’abus.