Les Coréens adorent cette adresse tristounette mais bon il y a là tous les basics tres déterminés (fondue, chou épicé…): ça canarde sec dans les épices (ça c’est le grand theme de cette cuisine déterminée) mais définitivement trop institutionnel. 8, boulevard Delessert, 75016 Paris (01.45.20.72.82).
A VENIR: vers 19 heures, je vous envoie le papier sur Marx. C’est curieux j’ai déjà des retours de ce papier et Thierry Marx serait persuadé que je voudrais sa tête. Oh que non! Mais c’est souvent ainsi, des que l’on émet des réserves sur un repas, immédiatement on en fait une histoire personnelle…Bah.
(Photo F.Simon).
emmanuelle
7 septembre 2007 at 12 h 22 minya des jours professionnels un peu moroses (aujourd’hui en est un) et puis on lit ça, qu’il y a déjà des retours sur un papier pas encore écrit ou paru, et là tout à coup, tout redevient bleu. Que tout cela est amusant! La cuisine des cuisines ! et dire que ça fait deux siècles que ça dure, le discours politico gastronomique. Je sais pas pourquoi ça me rappelle la grande polémique des anciens et des modernes, il y a une petite dizaine d’années. oh la la tout le bruit que ça avait fait pour une histoire d’épices dans l’assiette. En faisant deux pas en arrière pour prendre du recul, ca fait sourire, bien et ca permet de relativiser les jours moroses. Vive la france à table.
Joufpoi
11 septembre 2007 at 8 h 36 minPar curiosité je passerai devant l’institution que je ne connaissais pas.
Mais
Pour du Coréen sur le coude mieux vaut aller dans le 15ème prendre un « tartare » chez Myung Ka (19 bd Garibaldi), un « boeuf bourguignon coréen » ou des calamards épicés rue Falguière.
En tout cas merci de vous intéresser à cette cuisine, vous êtes bien le seul !
BalthazarB
12 septembre 2007 at 16 h 42 minJe remarque qu’ils s’ouvrent beaucoup de restaurants coréens à Paris, ces derniers mois. De là penser qu’il y a des faux (venus d’où vous savez) – comme avec les restos japonais -, il y a un pas qu’on pourrait éventuellement franchir.