Comme cette ville a du panache, de la douceur de vivre. C'est vrai les tables sont à la ramasse, mais vous le savez bien, il n'y a pas que cela dans les villes. Ici, lumières, maisons, cloitres, les jeunes gens, les visages: tout est habité avec une réelle grâce…(photos F.Simon).
gafet
24 juin 2011 at 0 h 00 minPetit pincement à la lecture de cette ode à la ville natale par un journaliste gastronome très apprécié…;)
Avez vous testé le restaurant « pategrain » (poulets du Gers + frites maison à se damner) près du marché victor Hugo et l »‘Empereur de Hué » (superbe cuisine viêtnamienne) près des Carmes ?
PS: Vos précieux précis avis hautement délectables manquent terriblement dans le Paf..