Rassurez-vous, non point qu’ils soient de nouveau en train de parfumer les salles de restaurants, quoique, il y a de plus en plus de restaurants où soudainement se déclenchent des fumeurs dans le délice de la clandestinité, mais


ces derniers se manifestent à nouveau dans les restaurants… en quittant soudainement votre table. Vous connaissez la démarche, pas toujours courageuse au demeurant : ils mobilisent quelques poumons faibles dans leur voisinage et dès que le compteur est à deux, on lève le camp. Cela se passe toujours après l’entrée, lâchement alors que la table est vide, deux puis trois de vos compères se lèvent pris d’une envie pressante et se retrouvent sur le trottoir en train de se taper une clope. Pas même le temps de se retourner, l’opération est vite bâchée. Cela m’arrive régulièrement et je n’ai toujours pas trouvé la parade.
ces derniers se manifestent à nouveau dans les restaurants… en quittant soudainement votre table. Vous connaissez la démarche, pas toujours courageuse au demeurant : ils mobilisent quelques poumons faibles dans leur voisinage et dès que le compteur est à deux, on lève le camp. Cela se passe toujours après l’entrée, lâchement alors que la table est vide, deux puis trois de vos compères se lèvent pris d’une envie pressante et se retrouvent sur le trottoir en train de se taper une clope. Pas même le temps de se retourner, l’opération est vite bâchée. Cela m’arrive régulièrement et je n’ai toujours pas trouvé la parade.
Si vous avez des idées, n’hésitez pas (fsimon@lefigaro.fr) car il faut réagir à ces exodes subits. Que faut-il faire avec ces sans-gênes qui sont hélas aussi nos amis ? Les priver de dessert ? Aller s’enfermer dans les toilettes pour lire un bon roman ? Quitter la table, piquer leur portefeuille ? Appeler les voisins du dessus pour qu’ils leur balancent un seau d’eau ? Il y a forcément une idée à trouver. En attendant, je roule des boulettes de pain. Les plats arrivent, le serveur est désarmé, cela refroidit, les déserteurs rappliquent, avec le visage illuminé des forfaitistes. Bah, un repas à besoin aussi de cette adrénaline.
frs
23 octobre 2012 at 8 h 41 minLa vie est trop courte pour partager un repas avec des malotrus…
Les mêmes qui arrivent en retard et en définitive vous pourrissent la vie.
S ‘éloigner de ces gens avec élégance et discrétion si la vie pro ne vous oblige pas de les fréquenter.
frs
Gertrude Maillard
24 octobre 2012 at 23 h 48 minles gens devraient faire comme dans les avions,attendre la fin du voyage pour fumer…
Je trouve celà impoli de quitter la table.
diablo 3 gold
28 octobre 2012 at 0 h 27 minThanks , I’ve just been looking for information about this subject for ages and yours is the best I’ve came upon till now. But, what concerning the conclusion? Are you certain concerning the supply?
diablo 3 gold http://www.d3eye.com
François G
1 novembre 2012 at 10 h 59 minSimple : n’avoir que des amis non-fumeurs…
Syl
3 novembre 2012 at 11 h 10 minIl y a aussi les non-fumeurs accros à l’aïe-phone, autre addiction conduisant à la goujaterie. Habitant au-dessus d’un restaurant, je peux apprécier volutes de fumées et éclats de voix à longueur de soirée. Mon pauvre M.Simon, nous finirons en ermites au fin fond de ce qui subsistera d’une forêt que l’ogre n’aura pas entièrement… consumée.
Louise
20 décembre 2012 at 18 h 48 minC’est peut-être ça, leur punition: manger froid…