Il existe toujours une bonne façon d’utiliser les palaces, c’est de se rendre au deuxième restaurant. Il y a là toujours de bonnes affaires, d’excellentes nourritures et…de la place.Prenez le Mandarin, vous êtes presque sùr d’avoir une paix royale et une assiette valable.
Hôtel Mandarin Oriental, 251, rue Saint-Honoré, VIIIe. Tél. : 01 70 98 74 00. Tlj.
La deuxième table du Mandarin constitue sans doute la bonne pioche du palace de la rue Saint-Honoré. Ouverte tous les jours de 7 à 23 heures, cette brasserie de luxe disposant, les beaux jours venus, d’une jolie terrasse, a su apaiser le feu créatif du célèbre chef Thierry Marx pour laisser place à une carte centrée sur les produits. L’espace est vaste et dispose de nombreux coins et recoins.
On retrouve la grinta du chef et ses compositions modernistes à travers ce vol-au-vent de légumes, revu et corrigé. Travaillant la légèreté d’un feuilletage, il se veut davantage une mise en perspective des légumes, déposés artistiquement selon les tailles et les coloris. Un brin girly et désinvolte, il assume néanmoins son tarif (22 eur) avec un vrai travail de création.
La deuxième table du Mandarin constitue sans doute la bonne pioche du palace de la rue Saint-Honoré. Ouverte tous les jours de 7 à 23 heures, cette brasserie de luxe disposant, les beaux jours venus, d’une jolie terrasse, a su apaiser le feu créatif du célèbre chef Thierry Marx pour laisser place à une carte centrée sur les produits. L’espace est vaste et dispose de nombreux coins et recoins.
On retrouve la grinta du chef et ses compositions modernistes à travers ce vol-au-vent de légumes, revu et corrigé. Travaillant la légèreté d’un feuilletage, il se veut davantage une mise en perspective des légumes, déposés artistiquement selon les tailles et les coloris. Un brin girly et désinvolte, il assume néanmoins son tarif (22 eur) avec un vrai travail de création.
Service impeccable avec un petit bémol, les desserts non cuisinés mais de pâtisserie…
Jean-Luc Stéphant
4 janvier 2013 at 21 h 56 minOuf! Même si ce met est une « œuvre d’art » un vol-au-vent à 22 euro c’est cher payé il me semble.
Adrien de Food In Paris
6 janvier 2013 at 0 h 24 minDesserts non cuisinés certes mais néanmoins très intéressants pour certains… Surtout qu’on les retrouve à emporter à l’entrée du restaurant, pratique pour soulager une envie qui vous prends en passant dans le quartier
Sophie
7 janvier 2013 at 5 h 37 minDésolé ce n’est pas un vol-au-vent, le vol-au-vent comporte obligatoirement un « chapeau » en pâte feuilletée (Escoffier, Prosper Montagné, Encyclopédie de la Cuisine, etc…) respectons les appellations d’origine, cela sera déjà une bonne chose et ça évitera de vouloir devenir cuisinier en 3 mois …