La fascination de la chaleur, disait on hier, c'est également ce jean de velours abandonné sur les quais. On devait être dans les 35°c, un peu plus même. Même pas un chien. Les bateaux immobiles, l'air aussi. J'aime l'odeur du ciment brulant mélangé au gazole, l'iode et les cordages mouillés. On a la tête vide. C'est si bon. Personne pour me voir m'agenouiller et prendre tout mon temps pour cadrer ce pantalon.
le 28 / 09 / 2010
Gil
28 septembre 2010 at 15 h 32 minMonsieur Simon, je pars au Japon le 5 octobre vous donnerez-vous les adresses de votre récent voyage avant mon départ ?
Merci pour vos chroniques !
Gould
28 septembre 2010 at 21 h 07 min@Gil : en attendant les adresses de V.Lemercier à Tokyo
http://madame.lefigaro.fr/loisirs-et-voyages/en-kiosque/3132-tokyo-dans-les-pasde-valerie-lemercier
@CD : ça serait bien de référencer les liens comme avant (ex : classer ce post sous « Liban »),merci!