Tomates farcies, un jour ou l’autre…

TomateC’est marrant mais lorsque vous écoutez les fines gueules, les pros, les champions, il y a un moment où il y  a une petite larme qui s’en vient hydrater leur visage. C’est la simplicité. Un bon vin, des tomates farcies, des amis. Après cela, alignez vous pour rivaliser. je ne vous donnerai pas la recette excellente de Françoise.  Car la cuisine, ce n’est pas reproduire, dupliquer. Mettez juste du sentiment, des tomates à l’occasion, vous verrez (vous le savez) le reste coule de source. La félicité est assises sur nos genoux. Nous ne la voyons même plus!

A VENIR: ce soir vers 19 heures, je vous glisserai  un petit texte sur ma visite à la Tour d’Argent, réouverte depuis peu…

(photo F.Simon).

  • Edith
    28 septembre 2007 at 13 h 46 min

    Ben oui c’est tout bon les farcis, j’ai même fait un jeu autour d’eux il y a quelques temps
    http://mestablesdefetes.canalblog.com/archives/2007/06/16/4785192.html#comments
    A bientôt

  • Nicolas
    28 septembre 2007 at 20 h 49 min

    Certes, les tomates farcies… Mais personnellement, étant niçois, je préfère mes petits farcis de chez moi (qui vous invite quand vous voulez, ceci étant dit) : vous savez les aubergines, les oignons, les courgettes, les poivrons… Chez René dans le vieux Nice. Ou alors comme chez la mythique mais défunte Mère Barale. Ceci étant dit, j’avoue qu’elles sont belles là, vos tomates… Histoire de pas passer pour un français ronchonnant.

  • emmanuelle
    29 septembre 2007 at 21 h 51 min

    Vous le savez sans doute, Nicolas, le petit fils de la mère Barale a rouvert le restau il y a quelques mois. Je n’y suis malheureusement pas allée (peut-être y avez-vous dîné ?) car lors de mon passage, le projet était en cours. Mais les pissaladières qu’il vendait chaque matin aux passants dans ce lieu incroyable, laissaient présager le meilleur. C’était des pissaladières comme on n’en fait plus mais que lui, Edouard Laudon, continue de faire, en mémoire de sa « mamie » comme il disait. C’était du temps passé, seul, dans ce lieu, qui racontait si bien ce qu’avait été son aïeule, à se souvenir, à verser des larmes – en coupant tous ces oignons et en écoutant aussi les craquements des murs, signes qu’elle veillait sur la préparation des tartes. Et vous oubliez la formidable, la sensationnelle, l’inénarrable cuisine de Dominique Le Stanc. Hmmmm ses pâtes au pesto.
    PS : je crois que Français ronchonant est un pléonasme.

  • Jacques
    1 octobre 2007 at 22 h 28 min

    Intéressantes les tomates farcies mais avec quelles tomates ? Et Françoise, s’agit-il de la même qui s’en allait quérir des morceaux de boeuf aux Halles pour élaborer son fameux « boeuf en gelée » comme Michel-Ange allait choisir lui-même ses blocs de marbre à Carrare ? Vous voyez à qui je fais allusion ?