Thierry Marx? Mince alors…

J’étais venu les papates devant pour faire un papier confortable et bienveillant histoire de coller au peloton des adorateurs. Et patatras, je n »ai rien pigé à la cuisine de Thierry Marx, à Cordeillan Bages, Pauillac. Dscn0566

Je me suis ennuyé ferme. J’ai même eu faim au point de me raccrocher aux hanches d’un cannelet présenté en pré-dessert…Je fignole le papier pour fin aout et je vous le délivre au plus vite.

(Photo F.Simon).

  • veronica
    9 août 2007 at 15 h 44 min

    oups parfois a force de manger trop de mousses, de gelees on a juste envie d’une baguette beurree……

  • stephane
    9 août 2007 at 16 h 24 min

    Je ne connais pas encore sans doute d’içi la fin de l’année.
    Mais je sais déja 2 choses :
    1/ Qu’il a une bonne boulangerie…
    2/ Que les Cannelets ont des formes…
    S.

  • Tiuscha
    9 août 2007 at 17 h 29 min

    Et bien, voilà une nouvelle renversante ! Et inquiétante… J’attendrais avec impatience la fin du mois !

  • Laurent
    9 août 2007 at 21 h 40 min

    Mmmmmm… il y a quelques semaines j’avais déjà lu ça : http://gastronomique.canalblog.com/archives/2007/03/18/4350958.html

  • mercotte
    10 août 2007 at 11 h 32 min

    tout dépend aussi des choix que l’on fait ….pas d’ennui pour moi que de bonnes surprises justement car je m’attendais à une cuisine plus déjantée ….. et en plus apparté pour Stéphane, le pain et le beurre sont excellents aussi !

  • François
    10 août 2007 at 13 h 25 min

    D’abord je remerci Laurentpour sa pub :-)))
    Ensuite je suis très d’accord avec Mercotte. Tout dépend en fait du choix qui est fait. Sur une table de quatre lorsque nous y sommes allés certains ont été bien plus vernis que d’autres. J’ai encore en travers ma quiche lorraine liquide ! Quant au problème que nous avons eu avec le service il faut espérer que ça soit conjoncturel.
    Ceci étant je retenterai l’aventure…

  • eva
    12 août 2007 at 12 h 20 min

    Moi, je reviens de Martillac (à Caudalie) où l’on mange plus simplement sans doute mais … délicieusement dans un cadre magnifique : une alternative.
    Hâte de lire la chronique par le menu !!

  • Eric
    13 août 2007 at 16 h 18 min

    J’y ai été il y a un an. C’était parfait et excellent, et le service ne posait pas de problème. Peut-être un mauvais jour lors de cette visite. Par contre, je suis d’accord, ce n’est pas le menu le plus copieux des grands restaurants.

  • Chroniques du Plaisir
    14 août 2007 at 17 h 57 min

    La critique gastronomique, comme toutes les autres (cinéma, littérature…) contient son nécessaire stock de subjectivité et son cortège de goûts particuliers. Trouvez le critique dont vous partagez les humeurs et les aspirations et collez à ses choix, voilà le secret. M. Simon n’aime pas, c’est son droit. M. Pudlowski aime, c’est son droit aussi.

  • Alain
    21 août 2007 at 14 h 56 min

    non, je ne garderai pas de souvenirs
    inoubliables en comparaison de repas dégustés dans certaines  » grandes maisons  » . C’est bien fait, les assiettes sont de véritables oeuvres d’art , en papilles , c’est bon , surprenant , mais à présent j’ai une certaine lassitude de la cuisine  » chimique  » … ( Veyrat , Fera , Marx etc …) j’ai retraversé la France le landemain pour aller chez Marcon , et là … c’était autre chose ….

  • Cocoricain
    26 août 2007 at 17 h 53 min

    J’ai moi-même fait un repas CA-TAS-TRO-PHI-QUE chez Thierry Marx l’année passée, en cela grandement aidé par le sommelier avec qui j’ai passé le dîner à lutter, alors que ma femme voulait tout simplement quitter la table en milieu de repas. Malgré une vraie maîtrise technique, une cuisine qui manque cruellement de générosité et de saveur et une démonstration écoeureante de suffisance de la part du service. Quant à Gilles Pudlowski, je ne crois pas que la preuve qu’il ait un palais ait été apportée…

  • Francois
    30 août 2007 at 17 h 44 min

    C’est presque un commentaire hors sujet mais tant pis. A la lectures de multiples bogs et commentaire on se rend compte que de très nombreux gastronomes font le voyage jusqu’à Cordeillan. C’est très bien. Par contre je trouve incompréhensible qu’ils s’arrêtent la et ne tirent pas un peu plus loin, de l’autre côté de la frontière pour aller à Lasarte chez Martin Berasategui… Un immense chef à mon sens trop méconnu dans notre pays. D’ailleurs tout comme les frère Roca à Géronne.
    Il n’y a pas qu’Adria en espagne !