En fait, ce n’était pas compliqué ! Il suffisait de se remettre au travail…C’est ce que je vais faire pour vos beaux yeux avec comme première visite, le Terroir Parisien, place de la Bourse, de Yannick Alleno. Déjà, je vous mitonne la suite: Chez Allard, Monsieur Bleu, Bermuda Onion…
En plus, c’est le shampoing plus le démêlant, (tout en un), vous aurez en bonus, le retour du Haché Menu, mais en version Simonsays, cela s’appellera <Faut il y aller ?>… Ca vous va ?!
Houitte
31 janvier 2014 at 15 h 38 minJe pensais aller y faire un tour… Merci !!
Ratatouille
31 janvier 2014 at 15 h 54 minLa bascule est faite et ce pas de côté augure du meileur !
MMM
1 février 2014 at 0 h 20 minOui ça nous va très bien ! Avec l’économie réalisée, on va vous offrir un meilleurs micro par contre, voire timbre de voix inimitable a un peu triste mine avec celui-ci.
Sinon j’aime!
Darius
1 février 2014 at 1 h 36 minFrançois, est-ce un nouveau genre que l’enregistrement de votre texte dans votre salle de bain ?
Sinon, l’Alleno semble effectivement bobof.
Georges
1 février 2014 at 1 h 46 minJe retrouve ce que j’aime chez vous, un reportage claire et classique,je réside à Phuket et j’aime suivre
l’activité des restaurant en France.
Yannick Alleno, un très bon mec, nous avons travaillé ensemble lorsqu’il n’était que demi-chef de partie.
mahé de la Bourdonnais
1 février 2014 at 13 h 03 minLe son de votre voix…caméra à l’épaule….!
Le François Simon d’hier et d’aujourd’hui….enfin de retour.
Ton tranchant, fourchette au garde à vous !
Va falloir s’appliquer aux fourneaux…..sinon le » IPPON » guette…!
Alleno ouvre le bal, tant pis pour lui.
Bon vent M.L’ÉLÉGANT.
aviotte-le penmelen
1 février 2014 at 16 h 33 minQuel plaisir de vous retrouver!
Je suis une modeste et future-ex-consœur (Retraite!) de province qui depuis quelques années vous suit de loin. J’ai toujours apprécié votre écriture mais sans savoir, pendant longtemps, si nous partagions la même sensibilité gourmande, car vos articles vous amenaient dans des territoires éloignés des miens. Je n’avais donc nulle référence.
Et un jour, enfin, vous avez publié un article sur Thierry Marx qui officiait dans ma région, à Pauillac. Quel choc!
Il faut que je vous précise que quelques semaines avant je m’étais fait remonter les bretelles par mon idiot de rédac chef car j’avais proposé un papier où j’osais (sacrilège!) contester, mettre en doute le talent de la star.
J’aurais pu (le talent en moins) cosigné votre article, tellement il reflétait mes sensations gustatives et mon questionnement devant cette cuisine qui me laissait là, seule et presque ennuyée de ne pas participer au chœur des louanges médiatiques.
Puis vous avez fait un détour chez JM Amat et encore une fois votre prose faisait écho à mon ressenti.
Vous comprendrez ainsi, à quel point c’est un grand bonheur de vous lire, de vous entendre à nouveau, l’esprit vif, le palais affuté et le sens critique toujours aussi aiguisé!