Sapporo. Le vrai plaisir des izakayas

(la haute gastronomie devient si lointaine)

 

Depuis quelques jours, j’arpente pour Air France Magazine, la ville de Sapporo et les alentours. J’en profite pour visiter les restaurants locaux. Une chose me saute au nez: les jolies tables onéreuses et superbes s’avèrent finalement interchangeables, à l’instar de nos grands restaurants français. Comme s’il y avait une vitrification du genre. Comme si l’Unesco et son patrimoine « immatériel » nous enfermait dans un genre. « La cuisine kaiseki, dit ainsi Ryoko Sekiguchi interrogée sur ce thème, dans les autres villes qu’à Kyôto, a ce complexe d’infériorité (même à Tokyo ). Elle a tendance à se ressembler à l’image de kaiseki de Kyôto . C’’est le néophyte qui fait plus que les fidèles normaux ».

Il faudra attendre que le papier sorte pour que je vous glisse ces adresses….