Pour mon dernier poulet rôti, n'ayant pas de fiancée, j'ai déclenché une canonnade d'ail écrasé. Pourtant, cette odeur qui parait il indispose ne me gêne nullement. Je n'y vois une dimension culturelle plus que physique. il doit y avoir des odeurs plus fortes mais mieux intégrées. En ce qui me concerne, ça me va. Alors, zou, vanille, échalotes, pignons, coriandre… Quelle danse ce fut!
(photo F.Simon).
béatrice martin
11 novembre 2010 at 11 h 16 minSerait il possible d’avoir plus de détails sur la recette du poulet ????
Merci d’avance , la photo et le commentaire sont trop alléchantes , ne nous laissez pas frustrés , et promis ,ensuite je m’intéresse très vite à votre livre de cuisine !
Une auditrice de France Inter
Eric
11 novembre 2010 at 12 h 07 minbonjour,
je craque sur vos recettes de poulet, malheureusement je ne dispose pas de broche dans mon four..
pourriez vous, pour le sot que je suis, me donner un mode opératoire pour arriver a un improbable aussi appétissant sans broche ?
comment faites vous pour obtenir un jus aussi juteux et humide après un temps de cuisson que je suppose long ?
Merci d’éclairer ma lanterne
Cordialement
Céline
11 novembre 2010 at 12 h 55 minAlors maintenant qu’on sait que le poulet est votre plat préféré; ça va attirer les commentaires de tous les -gourmands- auditeurs d’Inter!
A priori, ‘je ne suis pas’ poulet, bien que celui-ci soit suffisamment tentant pour me dire que rien n’est jamais figé!
Mais quel sourire quant au commentaire sur l’ail; diantre, c’est tellement bon! Il faut trouver une fiancée avec qui le savourer et en rire! Même l’ail en chemise, ça se déguste en toute complicité et délectation!
Syl.
11 novembre 2010 at 13 h 35 minAh l’ail !
Un ami restaurateur -que je ne citerai pas- avait concocté un « aïoli presque sans ail » (!)
pour, disait-il « ne pas effaroucher les palais parisiens ».
Ah, l’hérétique, quand on sait les vertus de l’ail, excellent dans la prévention des maladies cardio-vasculaires entre autres !