Paris. L’Entracte, faut il déglinguer ses plats déshumanisés ?

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C’est ce que je me demandais au dessus d’un tartare indifférent et une salade du même métal. L’avenue est pourtant magnifique, la clientèle présente. Mais bon, il ne se passe rien. Ni dans le décor emprunté, la clientèle laborieusement bourgeoise. Comme s’il y avait un renoncement, une absence d’âme. On en ressort comme si on avait perdu son temps, de son âme…

Heureusement, j’étais avec des amoureux du sel, produisant un « grand cru de Batz » superbe et racé…