Cela fait un choc tout de même, La Hune quitte le boulevard Saint Germain, pour reculer d'un pas, juste face au Bonaparte. C'était hier après midi. Le soir, il n'y avait pas un chat. La France était derrière la télé…
Oui cela fait un choc. Passé hier après midi. J’ai trouvé le nouveau lieu froid et encore désincarné. Peut-être la peinture blanche et les moulures trop Dior? On se serait cru chez Taschen ou Assouline, les coffee table book qu’on achète et ne lit jamais…
Jeanne
3 mai 2012 at 14 h 09 min
j’ai habité à côté c’est la librairie la plus désagréable de Paris, au fil des années je les ai vu mépriser les étudiants sans le sou, les gens qui comptaient leur pièces pour payer un livre, les étrangers, ceux qui n’avaient pas l’étiquette St Germain, ceux qui n’étaient ni auteurs connus, ni critiques … quel endroit horrible et mal foutu, quelle atmosphère pestilentielle. Un fond de livres à pleurer … Le choc cela serait qu’ils se cultivent et l’amabilité qui accompagne la compréhension du monde finira peut être par les atteindre.
Le vrai drame du boulevard, Simon, c’est le changement de place du kiosque dont les gérants au fil des années ont toujours été drôles et aimables.
Gould
3 mai 2012 at 10 h 29 minOui cela fait un choc. Passé hier après midi. J’ai trouvé le nouveau lieu froid et encore désincarné. Peut-être la peinture blanche et les moulures trop Dior? On se serait cru chez Taschen ou Assouline, les coffee table book qu’on achète et ne lit jamais…
Jeanne
3 mai 2012 at 14 h 09 minj’ai habité à côté c’est la librairie la plus désagréable de Paris, au fil des années je les ai vu mépriser les étudiants sans le sou, les gens qui comptaient leur pièces pour payer un livre, les étrangers, ceux qui n’avaient pas l’étiquette St Germain, ceux qui n’étaient ni auteurs connus, ni critiques … quel endroit horrible et mal foutu, quelle atmosphère pestilentielle. Un fond de livres à pleurer … Le choc cela serait qu’ils se cultivent et l’amabilité qui accompagne la compréhension du monde finira peut être par les atteindre.
Le vrai drame du boulevard, Simon, c’est le changement de place du kiosque dont les gérants au fil des années ont toujours été drôles et aimables.
monster energy hats
11 mai 2012 at 5 h 20 minMerci pour votre article, très bon
ASME BPE
11 mai 2012 at 5 h 25 minTrès bon blog, je vous remercie pour le partage, continuer à maintenir