Mince, ça me reprend…

le lundi, de déglinguer...

Ca devait me manquer, mais, rassurez vous,  je n’en ferai pas un rituel, un abonnement, un gri-gri. Quoique.

Mais parfois, c’est plus fort que moi. Et par malchance, cela tombe sur un adorable restaurant: Orties, rue Rodier, à Paris. J’y allais pour faire un papier tranquilos lorsque m’est retombé sur le poil, la calamité des restaurants. Et ce même au déjeuner: le menu dégustation. Alors que j’étais d’humeur zénithale pour déjeuner avec un adorable ami, voila que nous arrive l’absence de carte pour le menu « surprise » en quatre séquences. J’ai beau être paisible dans ma vie, là, je coince grave. Va pour le diner et l’assommoir processionnel,  mais au déjeuner, pouvons nous avoir juste un peu la paix et choisir. De surcroit, je n’avais pas une faim de loup, juste envie d’un plat, d’un joli plat. Et badaboum, le défilé certes joli, bon…Mais lorsqu’on est pris en otage, j’éprouve le sentiment d’enfermement. Dans le désir du chef, de montrer son talent (probable), mais pourrait t on…déjeuner en paix.  Please !

(cela dit, c’est bien).