Dénichées au détour d’un surf sur le web : 10 minutes au coeur de l’expérience elBulli. Drôle, surprenant, inventif… Ca s’amuse autour de la table, un plaisir ! Pour ceux qui en rêvent toujours et les autres qui attendent leur tour. Réservations ouvertes pour 2009 ?!
Et pour les curieux qui désirent plonger un peu plus dans l’univers de Ferran Adria son catalogue de recettes (jusqu’en 2005) se trouve ici
Laurent (GoT)
12 janvier 2008 at 20 h 37 minSympathique reportage en effet, l’un des meilleurs qui existent sur el Bulli.
Concernant les résas, on peut déjà réserver pour 2009 ?? je viens encore d’essayer en octobre dernier (période annoncée pour les résas) un échec pour 2008. Les années se suivent et se ressemblent.. desespérant :o(
Cdlt,
Laurent (GoT)
gould
13 janvier 2008 at 8 h 24 minah Anthony Bourdain! Sinon je n’ai jamais compris l’enthousiasme pour ce type de cuisine qui se rapproche plus de la chimie que de la gastronomie…
Jean-Philippe
13 janvier 2008 at 9 h 45 minEncore une fois..non! je n’y arrive pas..pas de vibration..Par contre, « Des racines et des ailes » du 16 janvier dernier, un reportage consacré à Fulvio Pierangelini du « Gambero Rosso » qui nous dit son attachement à la vérité du produit, son cheminement vers des préparations d’une plus grande simplicité..Là, je vibre et j’organise mon prochain passage à San Vincenzo!!
opium
13 janvier 2008 at 20 h 24 minTiens, puisqu’il en est question ici, là, maintenant, quelque lecteur averti aurait-il notion du délai moyen de réservation pour le restaurant de Fulvio Pierangelini ? Hors saison bien entendu. En hiver par exemple, au mois de janvier même, fin janvier pour être plus précis … C’est le même genre de trip grotesque que pour el bulli ou y-a-t-il encore moyen d’envisager le plaisir de dîner sans se projeter dans un roman d’anticipation ? Grazie mille per il suo precioso aiuto.
Opium qui rêve (pléonasme)
Joufpoi
18 janvier 2008 at 11 h 16 minJe n’avais pas reconnu Bourdain (il fait plus jeune qu’on ne l’imagine !). Il faudrait lui dire que l’alliance portée au pouce est une désolante faute de… goût ! 😉
On retrouve les mêmes coupes ovales en verre
chez Lasarte, le restaurant de Martin Berasategui à Barcelone. Le vendeur a bien fait son travail en Espagne.