Les mets à Agapé Susbstance m’apparaissent visuellement excitants. Rajouté à ma liste d’addresses gourmandes Parisiennes à faire lors d’un prochain passage dans la ville lumière. Suis parcontre surpris que ca ne vous ait pas autant emballé.
j’y ai diner la semaine dernière. Groupe de 5 belges venus un peu a Paris pour ce diner. Et bien, je ne sais pas quoi penser de ce genre de restaurant. cela n’a pas l’humour locavore,l’élélgance, l’envolée de Noma; c’est très bon , très compliqué, beaucoup de saveurs, de minuscules graines, fleurs, …… Le chef travaille par touches délicates et impressionnistes , mais je reste sur ma faim ( fin).
D’abord me fut présenté un Menu avec prix du déjeuner, heureusement je fut vigilant pcq j’ai faillit m’embarquer dans le menu vin compris; a 105 au lunch ( comme indiqué sur la carte présentée en premier) mais a 165 le soir ( sur la carte reçue a ma demande).
une grande table et des tabourets, un peu au coude a coude avec les voisins, ce qui n’est pas génant. Mais a 700 euros le diner a 5, c’est un peu spartiate, d’autant plus que le serveur m’a renversé un verre de rouge sur les genoux. ( en compensation j’ai reçu des verres de blancs doux avec le dessert, dont j’avais peu envie et j’ai payer ma bouteille de rouge dont un verre plein fut perdu)
je n’y retournerai pas; prochaine fois bistrot paul bert. autre chose mais autrement satisfaisant
michel szer
30 octobre 2011 at 20 h 04 min
c’est curieux ces restos à photos pour journaux anorexiques excusez moi mais j’ai un age pour qui ce genre d’assiettes rappelle de mauvais souvenirs,comme le fait remarquer jansen vive la bouffe de bertrand ou de gwaenaelle,ras le bol des assiettes végétariennes à des prix abusifs,comme chez votre ami passard.LOL.
a.o.
31 octobre 2011 at 11 h 37 min
François,
Laissez tomber le « franglais »: c’est nul.
Je suis d’accord avec Janssen et Szer.
Au lieu de ces restaus « concept-tendance » dont on ne parlera plus dans un an, trouvez nous plutôt des pépites, du vrai, où le contenu est plus important que le contenant car la culture de « l’éphémère » est derrière nous.
Si on veut vraiment donner dans ce style alors je pense que « Sola » est un choix plus raisonnable.
J’ai adoré, car c’est un peu dans le style Noma, une recherche intelligente et goûteuse tout en restant authentique. Il y a la place pour la cuisine bourgeoise traditionnelle et pour cette recherche bien conduite. C’est le cadre qui est un peu la limite du lieu. J’y retournerai avec grand plaisir.
Il manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Il manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Il manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Il manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Il manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Il manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Il manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Il manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Il manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Il manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
S Lloyd
30 octobre 2011 at 16 h 52 minLes mets à Agapé Susbstance m’apparaissent visuellement excitants. Rajouté à ma liste d’addresses gourmandes Parisiennes à faire lors d’un prochain passage dans la ville lumière. Suis parcontre surpris que ca ne vous ait pas autant emballé.
rodolphe janssen
30 octobre 2011 at 17 h 25 minj’y ai diner la semaine dernière. Groupe de 5 belges venus un peu a Paris pour ce diner. Et bien, je ne sais pas quoi penser de ce genre de restaurant. cela n’a pas l’humour locavore,l’élélgance, l’envolée de Noma; c’est très bon , très compliqué, beaucoup de saveurs, de minuscules graines, fleurs, …… Le chef travaille par touches délicates et impressionnistes , mais je reste sur ma faim ( fin).
D’abord me fut présenté un Menu avec prix du déjeuner, heureusement je fut vigilant pcq j’ai faillit m’embarquer dans le menu vin compris; a 105 au lunch ( comme indiqué sur la carte présentée en premier) mais a 165 le soir ( sur la carte reçue a ma demande).
une grande table et des tabourets, un peu au coude a coude avec les voisins, ce qui n’est pas génant. Mais a 700 euros le diner a 5, c’est un peu spartiate, d’autant plus que le serveur m’a renversé un verre de rouge sur les genoux. ( en compensation j’ai reçu des verres de blancs doux avec le dessert, dont j’avais peu envie et j’ai payer ma bouteille de rouge dont un verre plein fut perdu)
je n’y retournerai pas; prochaine fois bistrot paul bert. autre chose mais autrement satisfaisant
michel szer
30 octobre 2011 at 20 h 04 minc’est curieux ces restos à photos pour journaux anorexiques excusez moi mais j’ai un age pour qui ce genre d’assiettes rappelle de mauvais souvenirs,comme le fait remarquer jansen vive la bouffe de bertrand ou de gwaenaelle,ras le bol des assiettes végétariennes à des prix abusifs,comme chez votre ami passard.LOL.
a.o.
31 octobre 2011 at 11 h 37 minFrançois,
Laissez tomber le « franglais »: c’est nul.
Je suis d’accord avec Janssen et Szer.
Au lieu de ces restaus « concept-tendance » dont on ne parlera plus dans un an, trouvez nous plutôt des pépites, du vrai, où le contenu est plus important que le contenant car la culture de « l’éphémère » est derrière nous.
Si on veut vraiment donner dans ce style alors je pense que « Sola » est un choix plus raisonnable.
François Audouze
31 octobre 2011 at 14 h 55 minJ’ai adoré, car c’est un peu dans le style Noma, une recherche intelligente et goûteuse tout en restant authentique. Il y a la place pour la cuisine bourgeoise traditionnelle et pour cette recherche bien conduite. C’est le cadre qui est un peu la limite du lieu. J’y retournerai avec grand plaisir.
Ici & Maintenant
31 octobre 2011 at 19 h 34 minIl manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Ici & Maintenant
31 octobre 2011 at 19 h 34 minIl manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Ici & Maintenant
31 octobre 2011 at 19 h 34 minIl manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Ici & Maintenant
31 octobre 2011 at 19 h 34 minIl manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Ici & Maintenant
31 octobre 2011 at 19 h 34 minIl manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Ici & Maintenant
31 octobre 2011 at 19 h 34 minIl manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Ici & Maintenant
31 octobre 2011 at 19 h 34 minIl manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Ici & Maintenant
31 octobre 2011 at 19 h 34 minIl manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Ici & Maintenant
31 octobre 2011 at 19 h 34 minIl manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !
Ici & Maintenant
31 octobre 2011 at 19 h 34 minIl manque juste un mot dans votre reportage : le GOUT. Mental food ou pas, nourritures pensées ou non, les plats de David Toutain à l’Agapé Substance ont du goût, des saveurs qui ne sont pas des simulacres. Alors qu’on se plaint souvent – vous le premier – que certaines assiettes soient des collages ou des empilements de saveurs sans cohérence et sans raison d’être, cette cuisine, réfléchie et précise, est au service du goût, des papilles et du plaisir gustatif. N’ayez peur ! Partez à l’abordage de l’assiette ! Déshabillez la ! Avec délicatesse, en souplesse, et doigté… Conduisez-vous en homme… Et dégustez !