Excellent !!! 🙂
Oui apparemment c’est la croix et la bannière, de faire soi-même ce gâteau… L’idée m’a traversé l’esprit mais j’ai été découragé rien qu’en lisant les recettes. Et pourtant c’est si bon !
so
10 mars 2009 at 17 h 17 min
Mais raté comment, brûlé, écroulé… on ne voit pas, c’est pas trop fair-play. Vous vous êtes dégonflé sur ce coup là. Les gateaux plissés, c’est coton. Reste que la troisième petite main baladeuse a raison. La pâte crue, c’est toujours ça de pris. Le top dans le genre, finie avant de commencer, celle style biscuit de Savoie. Pas cuit, c’est doux, c’est bon, ça suffit.
Gas
10 mars 2009 at 17 h 31 min
Quelle aventure ! Le prix Pulitzer n’a jamais été aussi proche.
RV
10 mars 2009 at 18 h 02 min
Il faut travailler sur plan de travail froid et respecter les temps de repos réfrigerés.
Sinon lors de votre Week-end arretez-vous à L’ATLANTIDE à NANTES, le sien est extra ou alors poussez jusque chez votre vieil ami THOREL, le sien est terrible.
Du beurre toujours du beurre!!!
ah… Cher François, permettez moi de vous conseiller, après tout, c’est la moindre des choses…
Alors : direction la grande bleue, la vraie, vers Brest. Arrêtez-vous un peu avant le bout de la terre, à Lesneven (25 km de Brest vers le nord). Ruez-vous à la boulangerie Hollebeque, achetez du kouign amann, probablement le meilleur du monde.
Ensuite, filez vers la côte, à Kerlouan. Je ne saurais trop vous conseiller le lieu-dit Meneham, spectaculaire.
Installez-vous sur un des énormes rochers, face à la mer, et sous le vent pour la dégustation. Une certaine solitude vous permettra d’apprécier pleinement la conjonction des éléments réunis, là, rien que pour vous. Savourez, prenez votre temps, de toute façon, vous ne mangerez pas ce soir, tant le dessert est roboratif…
Une fois le kouign amann englouti, il ne vous reste qu’à rincer vos doigts forcément enduits de beurre et de sucre directement dans la mer.
Un plaisir aussi copieux que métaphysique.
Dominique
10 mars 2009 at 19 h 14 min
Le Kouign amann, même les Bretons ne savent pas les faire ! Il faut faire 50 boutiques avant d’en trouver un mangeable.
Faut dire que la Bretagne n’est pas la région de la pâtisserie, loin s’en faut.
Dominique du…Morbihan.
Antoine
10 mars 2009 at 22 h 29 min
Le gâteau d’ici… (kouign = gâteau, amann = ici, ce n’est pas compliqué le breton).
Invention mythique d’un boulanger de Douarnenez – bien que des version apocryphes aient été recensées en différents points du Pays Bigouden.
Boulanger donc en effet pâte à pain, les 6 tours de feuilletage, beaucoup de beurre et du sucre. Certes un peu lourd. Il parait qu’un des secret serait une pâte bien levée?
La version « pomme » (kouign avalou) est peut-être plus légère.
Cependant si vos pas vous portent vers Quimper poussez donc la porte de la pâtisserie Roland, rue Kéréon. Profitez en pour goûter aux macarons de la maison qui n’ont pas grand chose à envier aux créations parisiennes. A un prix de douceurs!
Pour les prochaines expériences pâtissières, essayez vous, si le cœur vous en dit, au gâteau breton. Une douzaine d’œufs (entre autres ingrédients) pour un gros gâteau de 2 kg!
ps: pour une option parisienne, l’interprétation de « Chez Michel », rue de Belzunce dans le 10ème, est très honnête.
Morte de rire !! François une fois la pâte feuilletée maîtrisée promis vous serez le roi du Kouign amann !! bravo pour le choix du rouleau !
yann
11 mars 2009 at 12 h 08 min
Sacré FS! Je préfère te voir à table chez nos retaurateurs qu’en cuisine, excusable quand mème, car cette galette est trés compliquée à réaliser, surtout pour un débutant!
a plus…
ça, c’est parce que vous ne lisez pas souvent la « blogosphère culinaire », y’en a des qui vous auraient appris ! c’est pourtant siii simple !… ahem ! j’ai pas l’air crédib’ ?
😉
J’ai la même assiette, le même rouleau à pâtisserie, et je suis breton. Est-ce à dire que je vais aussi me planter si je fais un kouign amann ?
Ce n’est pourtant pas difficile, la cuisine bretonne ! Il suffit de mélanger beaucoup de beurre, avec beaucoup de beurre, et d’y incorporer un peu de beurre. Salé, bien entendu, sinon çà devient de la cuisine normande 😉
Kaplan
10 mars 2009 at 16 h 34 minExcellent !!! 🙂
Oui apparemment c’est la croix et la bannière, de faire soi-même ce gâteau… L’idée m’a traversé l’esprit mais j’ai été découragé rien qu’en lisant les recettes. Et pourtant c’est si bon !
so
10 mars 2009 at 17 h 17 minMais raté comment, brûlé, écroulé… on ne voit pas, c’est pas trop fair-play. Vous vous êtes dégonflé sur ce coup là. Les gateaux plissés, c’est coton. Reste que la troisième petite main baladeuse a raison. La pâte crue, c’est toujours ça de pris. Le top dans le genre, finie avant de commencer, celle style biscuit de Savoie. Pas cuit, c’est doux, c’est bon, ça suffit.
Gas
10 mars 2009 at 17 h 31 minQuelle aventure ! Le prix Pulitzer n’a jamais été aussi proche.
RV
10 mars 2009 at 18 h 02 minIl faut travailler sur plan de travail froid et respecter les temps de repos réfrigerés.
Sinon lors de votre Week-end arretez-vous à L’ATLANTIDE à NANTES, le sien est extra ou alors poussez jusque chez votre vieil ami THOREL, le sien est terrible.
Du beurre toujours du beurre!!!
florent calvez
10 mars 2009 at 18 h 19 minah… Cher François, permettez moi de vous conseiller, après tout, c’est la moindre des choses…
Alors : direction la grande bleue, la vraie, vers Brest. Arrêtez-vous un peu avant le bout de la terre, à Lesneven (25 km de Brest vers le nord). Ruez-vous à la boulangerie Hollebeque, achetez du kouign amann, probablement le meilleur du monde.
Ensuite, filez vers la côte, à Kerlouan. Je ne saurais trop vous conseiller le lieu-dit Meneham, spectaculaire.
Installez-vous sur un des énormes rochers, face à la mer, et sous le vent pour la dégustation. Une certaine solitude vous permettra d’apprécier pleinement la conjonction des éléments réunis, là, rien que pour vous. Savourez, prenez votre temps, de toute façon, vous ne mangerez pas ce soir, tant le dessert est roboratif…
Une fois le kouign amann englouti, il ne vous reste qu’à rincer vos doigts forcément enduits de beurre et de sucre directement dans la mer.
Un plaisir aussi copieux que métaphysique.
Dominique
10 mars 2009 at 19 h 14 minLe Kouign amann, même les Bretons ne savent pas les faire ! Il faut faire 50 boutiques avant d’en trouver un mangeable.
Faut dire que la Bretagne n’est pas la région de la pâtisserie, loin s’en faut.
Dominique du…Morbihan.
Antoine
10 mars 2009 at 22 h 29 minLe gâteau d’ici… (kouign = gâteau, amann = ici, ce n’est pas compliqué le breton).
Invention mythique d’un boulanger de Douarnenez – bien que des version apocryphes aient été recensées en différents points du Pays Bigouden.
Boulanger donc en effet pâte à pain, les 6 tours de feuilletage, beaucoup de beurre et du sucre. Certes un peu lourd. Il parait qu’un des secret serait une pâte bien levée?
La version « pomme » (kouign avalou) est peut-être plus légère.
Cependant si vos pas vous portent vers Quimper poussez donc la porte de la pâtisserie Roland, rue Kéréon. Profitez en pour goûter aux macarons de la maison qui n’ont pas grand chose à envier aux créations parisiennes. A un prix de douceurs!
Pour les prochaines expériences pâtissières, essayez vous, si le cœur vous en dit, au gâteau breton. Une douzaine d’œufs (entre autres ingrédients) pour un gros gâteau de 2 kg!
ps: pour une option parisienne, l’interprétation de « Chez Michel », rue de Belzunce dans le 10ème, est très honnête.
Delphine
10 mars 2009 at 22 h 47 minJ’en ai réussi un très bon une fois en prenant la recette pour pâte feuilletée de Guy Martin ;o)
Mercotte
11 mars 2009 at 10 h 48 minMorte de rire !! François une fois la pâte feuilletée maîtrisée promis vous serez le roi du Kouign amann !! bravo pour le choix du rouleau !
yann
11 mars 2009 at 12 h 08 minSacré FS! Je préfère te voir à table chez nos retaurateurs qu’en cuisine, excusable quand mème, car cette galette est trés compliquée à réaliser, surtout pour un débutant!
a plus…
Tit'
11 mars 2009 at 13 h 58 minça, c’est parce que vous ne lisez pas souvent la « blogosphère culinaire », y’en a des qui vous auraient appris ! c’est pourtant siii simple !… ahem ! j’ai pas l’air crédib’ ?
😉
Martine Vatel-Toudire
11 mars 2009 at 14 h 15 minAttention aux poignets de chemise !
Pascal
27 mars 2009 at 21 h 30 minJ’ai la même assiette, le même rouleau à pâtisserie, et je suis breton. Est-ce à dire que je vais aussi me planter si je fais un kouign amann ?
Ce n’est pourtant pas difficile, la cuisine bretonne ! Il suffit de mélanger beaucoup de beurre, avec beaucoup de beurre, et d’y incorporer un peu de beurre. Salé, bien entendu, sinon çà devient de la cuisine normande 😉
Holly
10 août 2009 at 13 h 26 minBravo ! Quel courage en tout cas vous avez eu. Je ne l’ai jamais eu.
mb
22 août 2009 at 22 h 33 minOoh-la-la !! La chemise, lol. J’adore le kouign amann, souvenir des vacances en Bretagne…. ça y est j’ai déjà pris 5 kilos rien que d’y penser !