Kiyomizu: la sérénité du 8eme, navrant

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Qualité des poissons de bon niveau, découpes louables, service mezzo, adresse choisie, mais clientèle nulle. Au déjeuner, voila tous les cadres du coin débarquer ici comme s'il s'agissait d'un bistrot. C'est tout cela le charme désolant des Parisiens, s'approprier un endroit posé et en faire une bouilloire. Conversations de plastronants, banalités d'ânes satisfaits d'eux mêmes. J'ai failli me lever et faire: chuttt ! Un jour, je le ferai ! 4, rue Saint Philippe du Roule, 75008 Paris (01.45.63.08.07).www.kiyomizu.fr (photo F.simon).

  • Olivier Zetlers
    6 octobre 2010 at 10 h 20 min

    François, on vous aime !

  • Ariane
    6 octobre 2010 at 15 h 01 min

    vous avez raison cher François Simon, tout l’environnement compte dans le plaisir d’un repas. A propos de japonais, avez-vous testé Juan, dans le 16eme, grand classicisme et très bon ?

  • georges
    6 octobre 2010 at 15 h 11 min

    Haaa elle est bonne celle-la, le critique gastronomique du Figaro qui, en note de frais, prétend s’insurger contre les bourges du VIIIème, ceux-là même qui viendront en bons pigeons argentés se faire plumer dans les restos des copains des journalistes, suivant les modes qui se propagent comme des trainées de poudre dans le petit milieu.
    Mister Simon, vous vous prenez pour le punk du Figaro parce que vous essuyez vos chaussures dans les baignoires des palaces parisiens (toujours en note de frais), que vous maltraitez les produits dans vos vidéos culinaires et que vous transmettez ces valeurs à votre entourage, quand on voit la mine blasée et avachie des enfants qui apparaissent dans la vidéo sur Cancale? Le monde complexe et passionnant des produits, des sens, n’est que prétexte à vos formules pseudo-littéraires qui tournent à vide. Et récemment, vous vous en prenez à la clientèle à défaut de précision quant au contenu de l’assiette et du verre. De quoi parlez-vous exactement?

  • Claire
    6 octobre 2010 at 18 h 19 min

    Ouch – ça saigne aujourd’hui ! Je comprends votre agacement – même si je sais aussi qu’il m’est arrivé avec bonheur d’être d’humeur truculente dans des endroits aussi zens qu’austères, les voisins dévisageant nos fous rires d’un air agacé…

  • serge
    6 octobre 2010 at 19 h 16 min

    j’ai juste demandé une fois à un pontifiant s’il ne pouvait pas parler un peu plus fort parce que je n’entendais pas tout

  • Gould
    6 octobre 2010 at 22 h 42 min

    M.Simon, parfois on a l’impression que vous les chercher… les cadres.

  • Julien
    6 octobre 2010 at 23 h 19 min

    Georges, à votre séance de thérapie de cette semaine, penser à évoquer votre obsession pour FS.
    FS, à votre séance de thérapie de cette semaine, pensez à évoquer votre obsession pour les gens qui vous entourent quand votre assiette est belle et pleine.

  • Patrick
    7 octobre 2010 at 1 h 45 min

    Et ben Francois fallait sortir ton ipod pour mouffler les conversations des anes…
    Pourquoi se plaindre quand c est des frais professionnels….

  • Pierre
    7 octobre 2010 at 12 h 22 min

    Les cadres sont des fâcheux : bavards insipides et pleins d’eux mêmes c’est à dire de vide, pauvres beaufs à la Bigard quand ils ont juste un petit verre « dans le nez » … Mais en fait grace cette naïve et deprimante pietaille, les restos arrivent à vivre et les PDG à s’enrichir…

  • Bloch
    8 octobre 2010 at 12 h 20 min

    euh… la je ne vous comprends pas…. en fait, on n’a le droit de faire une pause midi et d’avoir des conversation de bureau que dans un restaurant pourri, c’est ça ?

  • Mr Arty
    11 octobre 2010 at 10 h 55 min

    Le bastringue de François c’est kif-kif bourre le haricot question devidages. Va donc chez speedy te boucher tes feuilles de choux si t’as les cages à miel qui sifflent.

  • Alexis K
    2 janvier 2011 at 2 h 43 min

    Pourquoi ne pas le faire en quittant le restaurant après avoir laissé la carte d’un critique concurrent ?!