Je ne sais pas pourquoi, mais le lundi, il faut que je déglingue…

On devrait arrêter parfois de se lamenter sur la vacuité des classements tant ceux ci s’avèrent de plus en plus difficile à réaliser. Mais bon, le genre est tenace et je ne  vois guère ce qui frenerait ces morceaux de bravoure. Celui réalisé dans le supplément du Parisien de ce vendredi n’échappe pas au genre et dès les premières lignes fait lever les yeux au ciel. Non point que la démarche soit malhonnête ou pas sérieuse, mais elle s’avère vaine tant la donne parisienne est riche, multiple paradoxale.

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Il manque des tas d’adresses planquées et d’autres qui pourraient l’être et même si l’équipe du Parisien a visité 200 adresses, c’est plus du triple qu’il faudrait faire pour tenter de faire un classement et ce, en vain… Cependant, l’un des mérites de cet exercice est d’avoir su mélanger les styles, mais là encore on se brise les dents sur la volonté de vouloir mettre dans la verticalité ce qui ne s’exprime qu’à l’horizontale. Les Japonais rigolent ainsi de ce genre de plan. Eux, depuis longtemps, lorsqu’ils se mettent à comparer le font dans un genre: ramen, sushis, izakaya, udon…

  • François G
    23 avril 2015 at 10 h 22 min

    7 sur 100… J’ai encore du boulot…