J’aime bien cette idée de Fred Chesneau…

C’est au cours d’un voyage à Taiwan  que j’ai eu le plaisir de rencontrer Fred Chesneau lors d’un reportage pour Air France magazine, avec Laetitia Masson, réalisatrice et photographe.

En voyage, soyons clairs, rencontrer des Français, c’est franchement pas mon truc. C’est même presque absurde. Et pourtant, en nous retrouvant au dessus de vapeurs dans un restaurant de Taipei, le contact est passé limpidement. Je pensais que c’était une star de la télé un peu encombrante et bavarde.Pas du tout, un mec adorable, généreux,  à l’écoute, bien luné et passionnant. Du coup, on s’est revu le lendemain et voilà ! Je n’avais pas de nouvelles de lui lorsque j’ai appris qu’il lançait un livre en souscription. Voila pourquoi, j’accours, je vole et je m’inscris…Pour tout dire, j’adore ce genre d’initiatives ! je ne sais pas pourquoi, mais cela me met dans une joie réelle !Taipei, Shi Yang, brasero

 

 

DEVENEZ L’EDITEUR DE FRED CHESNEAU ! from fred chesneau on Vimeo.

  • Guy de la Rupelle
    27 novembre 2014 at 15 h 28 min

    Salutations!
    Au début, quand je suis arrive au Japon je pensais de même, que c’était absurde de rencontrer des français, que je n’avais pas fait 10.000km pour en rencontrer d’autres. Mais plus de vingt ans plus tard j’ai fais un tour sur la question, notamment en gastronomie. Il y a Didier Corlou, un Breton, qui a plusieurs restaurants à Hanoi et avait entièrement refait le menu du magnifique Hôtel Métropole. Un menu inventif, qui nous fait découvrir une cuisine vietnamienne revue par lui qui vaut le déplacement. L’Atelier Robuchon à Tokyo, créé sur le même thème qu’un restaurant de sushi ou l’on est a un mètre du chef qui nous prépare des délices style « nouveau-japonais », oui, pourquoi pas. Il ne faut plus voir le passeport mais le chef, le boulanger, le pâtissier, français, belge, suisse, le japonais, peu importe, pourvu que la table soit bonne. Inversement, il y a des japonais en France, chefs ou sommeliers qui sont magnifiques; cela serait dommage de les éviter parce qu’ils sont japonais. J’écris cela pour mes amis japonais en ne voulant pas qu’ils aient la même façon de penser.