Il doit y avoir un truc magique dans le mot <bar>. Une sorte de poudre de perlim pinpin qui nous ferait saliver en un claquement de doigts, un son de basse qui nous rend marteau. De partout, ça fleurit : bar à vins, certes, à cigares, bar- tabac, à soupes, à tapas, à bières, sushis, sake (rue Vallette : Sakebar) ; le bar à eaux de chez Colette.
Accélérons maintenant: à frange (rue du Jour), à sourires (pour le blanchiment des dents), à sieste (passage Choiseul) , à Poules (paris en ligne pendant le championnat européen de foot, rue Bernard Palissy).
Et puis hier encore, un bar à thé lancé la <très aristocratique maison de Thé Betjeman and Barton>, boulevard des filles du Calvaire, le bien nommé. On imagine une réunion de marketing hennissant sous le knout de la créativité : trouver le mot magique émis comme un aboiement : bar ! Eureka, bingo, vendu !
A venir : bar à mines (revitalisation des épidermes), Bar Mitzvah, et pour les amateurs de golf, bar à puts.
torrpennprod
17 juin 2012 at 12 h 53 minQue de baratin ( rue jouye rouve )pour ne pas dire de baragouin ( rue tiquetonne )
rosemary
19 juin 2012 at 13 h 10 minDa Nordzee, sur la photo sauf erreur de ma part, n’est pas vraiment un bar …?
david
20 juin 2012 at 13 h 01 mineh bien Mr Simon, voici que vous vous laissez aller aux jeux de mot façon Vermot, « bar à puts »…
ollivier
20 juin 2012 at 13 h 04 minpour le bar à mines, je lui préfère le bar à teint
wouarf!
Claire
27 juin 2012 at 13 h 53 minHAHAHAHA