Eric Frechon : 3 étoiles vraiment ?





  • patrick
    15 février 2009 at 11 h 39 min

    Et Piège, toujours à 2**?…et Decoret, toujours à 1* ? …et le Michelin toujours dans son époque ? (=> mais laquelle ?)

  • Ratatouille
    15 février 2009 at 12 h 07 min

    De toute façon pour le lièvre à la royale, j’ai bien retenu ma leçon (depuis « La Bande à Bonnaud ») il faut aller au « Stella Maris » !

  • Luxeat
    15 février 2009 at 12 h 37 min

    Beaucoup de restaurants en France sont sur évalué , L’Auberge de L’ill (3 *), par example…

  • Laurent
    15 février 2009 at 14 h 04 min

    Je partage totalement votre avis, j’avais eu la même impression l’été dernier, « surfait » étant probablement le meilleur qualificatif de notre expérience, du bon, certes, mais trop cher et ne justifiant pas son rang.

  • Chrisos
    16 février 2009 at 10 h 44 min

    moi qui aime bien le classique, j’avais passé un excellent moment au restaurant d’été en mai 2008.
    c’est quoi ce look à la Madame de Fontenay, en face du lièvre ;)?

  • bertrand
    16 février 2009 at 13 h 08 min

    Ouais c’est sûr la terrasse du Bristol,l’été c’est bien ,bon vu les prix plutôt envie de partir avec les chaises à la fin.Souvenir vague d’un dessert aux (avec des)fraises… on enlève ses étoiles a Marc Meneau tous les trois ans…pourtant au niveau classique c’est autre chose.un peu las ce matin.pouvez pas faire un guide Simon&Millau?

  • gerard poirot
    16 février 2009 at 23 h 14 min

    Fréchon ne mérite certes pas 3 macs, mais il y a pire : Ledoyen… et guère mieux au Meurice. On attend toujours la liste des 3 étoiles de Saint-Simon. Ses potes de la rue Paul Bert ? Mouille-toi, François !

  • sue
    17 février 2009 at 17 h 01 min

    « L’expression prime mais le sens expire »…
    Vous résumez ce que je trouve huit fois sur dix dans les restaurants – ou au musée, au cinéma, dans la littérature.
    Même chez les meilleurs, je remarque cette inquiétude qui les fait courir après l’air du temps et perdre le sens de la nécessité. L’assiette, la déco, tout suit.
    Puis il y a cette diffusion de l’art contemporain qui laisse croire qu’un bon dispositif suffira à convaincre. Mais non : quand ce n’est pas juste, ce n’est pas juste.
    (Et surtout, merci de votre analyse, claire et pédagogique. On comprend les enjeux.)

  • un michelinophile
    18 février 2009 at 11 h 44 min

    Le guide Michelin à 109 ans , parlerons nous encore de François Simon en 2118 ???….

  • Jacques Perrin
    18 février 2009 at 17 h 40 min

    Même (étrange) impression que vous, François. En plus, Eric Frechon se met à faire des brimborions qui ne lui ressemblent pas : http://blog.cavesa.ch/index.php/2009/02/12/175540-dejeuner-express-en-habit-de-lumiere-au-bristol

  • Jean
    18 février 2009 at 22 h 26 min

    Bonsoir,
    Concernant le déjeuner au Bristol, ôtez-moi d’un doute : vous n’avez pas bu de vin blanc avec les tartuffi d’alba, ni avec les ris de veau !!!
    Pour le lièvre, le Roc d’Anglade ( Gard ) 2002 coûte autour des 20 euros.
    C’est là qu’il y a décalage pour nous autres français entre les produits sublimes et les vins. Dans beaucoup trop de « macarons » de l’hexagone, il en est ainsi.
    Et les autres restaurants ne sont pas en reste non plus.
    Une réflexion s’impose avec François AUDOUZE
    Bravo pour vos écrits.

  • stefen
    28 février 2009 at 23 h 49 min

    pourquoi la vidéo ne marche pas