Au jeu du contrepied, il en est un qui ne manque pas de sel. Par beau temps, les terrasses des cafés débordent de monde. Pendant ce temps là, à l’intérieur, c’est une ville en période d’alerte nucléaire. Pas un chat. Personne. Juste de temps en temps, le passage de visages ahuris cherchant les toilettes. Le reste du temps calme plat, les banquettes pour soi tout seul…On peut déployer les journaux, se faire oublier. Dehors la ville dans une autre vie… Web Map
(photo F.Simon).
sborgnanera
13 août 2008 at 9 h 49 minyep ! pareil à lyon en ce moment
je me venge sur des écrevisses servies avec un bouillon magique chez la mere léa (la voute, lyon 2eme) et une cote de veau bien épaisse avec quelques girolles de la loire à tomber de fermeté ou, ce midi, je pense aller dans un endroit un peu hype, les planches à albigny sur saone pour me finir un haut gléon rosé topissime avec ces petites touches de framboise écrasée
personne, vraiment personne mais on s’en fout, les assiettes et les bouteilles arrivent a nous raconter de telle belles histoires que parfois etre seul, ca a du bon ;o)