Plusieurs fois, je me suis retrouvé de la sorte. Ayant à écrire tout en déjeunant, je me suis aperçu que mes doigts savaient très bien faire le travail. Pas plus compliqué que cela: le stylo est toujours prêt et la fourchette pique dans son coin. Pas de passements de main, ni d'enchevètrement…Pas sorcier, la prochaine fois je vous montrerai comment je disparais tout en étant là… (photo F.Simon).
A VENIR: demain, je crois bien que vous adresse une petite séquence écrite sur l'Astrance, qui fête ses dix ans…Ensuite, j'ai toujours au frigo Beyrouth (dans une quinzaine) puis Tokyo. Et puis quoi encore? I don't know… Peut être une chanson. j'y travaille.
Jean-Philippe
17 novembre 2010 at 16 h 01 minEt dans l’assiette, calamars à l’encre ? (désolé, j’ai pas résisté)
Gould
17 novembre 2010 at 17 h 22 minOn reconnaît le Paul Bert.
Patrick
18 novembre 2010 at 3 h 17 minBen on a compris…c est le masque et la plume
Martine Vatel-Toudire
18 novembre 2010 at 20 h 38 minS’il vous plait, vite pour les adresses de Tokyo, je pars bientôt manger là-bas.