Petites promenades en France, un peu partout. On se croirait dans un roman de James Salter. Les petites routes, un quatorze juillet, une petite auberge à Coulombiers, elle s’appelle le Centre-Poitou. Nous étions deux sur la terrasse pendant que le village faisait son banquet. Plat nickel (un cabillaud avec petits légumes et une sauce à base de jus d’orange), déconcertant (05.49.60.90.15).
Et puis, un autre coup de coeur, à Collioure, au Cinquième Péché, avec la cuisine inspirée et désarmante de fraîcheur de Masashi Iijima (18, rue de la Fraternité ; 04 .68.98.09.76) : carpaccio de poissons de Méditerranée sauce gingembre, ventrèche de thon au foie gras, cremes catalane à l’artichaut violet caramèlisé (menus à partir de 15 € ; 34 et 50€ au diner ; belle carte des vins).
Autre restaurant en vue la Littorine, avec la cuisine de Jean Marie Patrouix, (Hotel des Elemes, sur Banyuls ; 04.68.88.03.12) sans oublier, dans les petites rues de Collioure, la Casa Leon qui a de magnifiques poissons frais (2, rue Riere ; 04.68.82.10.74)
On évitera les terrasses donnant sur la mer s’adonnant au tout venant ou alors en minimisant les risques comme le Sol e Moi, parfait pour le coucher de soleil, nettement moins bien pour le reste.
(photo au Cinquième Péché, F.Simon)
marie
16 juillet 2008 at 13 h 56 minj’avais beaucoup aimé le clos des paullilles à coté de collioure avec la dégustation de vins de banyuls extra. Une vraie merveille. Pour finir nous avions passé la frontière pour diner à Les Cols à Olot : superbe
gimmix
18 juillet 2008 at 14 h 21 minCoulombiers ! Vous êtes passé tout près de chez moi qui suis justement en train de « dévorer » votre livre « Aux innocents… » sur une terrasse, à l’ombre.
What emotion !
La rivière aux canards
28 août 2008 at 6 h 21 minBon souvenir de vacances: Le cinquième péché, Collioure
Si vous passez dans le sud, plus précisément dans les P-O à Collioure, n’oubliez pas d’aller déguster un excellent repas au Cinquième Péché, un restaurant avec deux chefs japonais en cuisine et une fille d’Osaka au service. Un régal que
Rozéfré
4 février 2010 at 6 h 46 minBonne continuation