Pourquoi, mais pourquoi bon sang de bois, il faut toujours surajouter des bons moments. Je sortais du Passage 53 avec mon ami Frédéric Bonnaud lorsque celui ci m'a collé d'emblée sur la selle de son scooter. Et nous voila partis vers la République dans l'ineffable restaurant Cartet (52 rue de Malte, 75011 Paris; 01.48.05.17.65).
On avait divinement bien mangé et superbement bu. Il avait des amis à saluer, style hautes huiles du cinéma français. Lorsque nous somme arrivés vers 22h3O, il n'y avait plus personne dans le restaurant. Si ce n'est notre tablée. Et reboum, mousse au chocolat, châteauneuf du pape.
Le reste, c'est un peu confus. Le retour à fond les ballons, un gyrophare bleuté au lointain, le code de l'immeuble. je me suis endormi en diagonale dans mon lit.. Cartet, toujours extra, l'un des seuls restaurants de Paris à fermer ses portes lorsque le service commence.
Respect !
AV
7 avril 2009 at 10 h 12 minUn « gently spice » bloody mary pour ce lendemain de bacchanale cher François?
Ou un « virgin cocktail » pomme verte menthe et gingembre pour purifier et revitaliser corps et esprit?
Sunny Side
7 avril 2009 at 15 h 52 minEmouvant et grisant …
Syl
7 avril 2009 at 16 h 19 minRespect ? Oh que oui !
Les terrines sont sublimes, le poisson s’impose si on veut attaquer ensuite le pantagruélique chariot de desserts.
M. Cartet accompagne la sole (cuisson parfaite) de simples pommes de terre « Agatha » d’un fondant vertigineux.
A déjeuner, il ouvre à qui il veut : on va chez Cartet en conspirateurs, en disciples dévoués.
Une bonne marche à pieds s’impose ensuite.
papillon
8 avril 2009 at 9 h 49 minCher François,
Comment faites vous pour garder la ligne après tant de repas?? (si vous l’avez toujours, bien entendu…);-)
lardon
9 avril 2009 at 22 h 44 minj ai eu la chance d y aller (monsieur ouvre a qui il veut…j ai la chance d etre blonde!!!…) et j en garde un souvenir emu; terrines a se rouler par terre, boeuf ficelle completement fou, le meilleur gratin dauphinois du monde
une merveille