samedi soir, à la Cité de la musique, il y avait un concert de Ryuichi Sakamoto. Il a rejoué son album 1996 avec de nouvelles orchestrations pour trio. Un magnifique moment suspendu. Pour avoir réservé mes places longtemps à l'avance, j'étais bien placé, pas loin de la scène. Et chose troublante, sur le mur voisin, se reflétait l'ombre japonaise de la violoniste. La magie dédoublée… (vidéo F.S.)
nico
1 novembre 2011 at 10 h 50 minJe comptais y aller mais j’ai complètement oublié… Et j’aime beaucoup 1996 en plus. Sinon, Summvs, le dernier album de Sakamoto enregistré avec Alva Noto, est chaudement recommandé !
BalthazarB
1 novembre 2011 at 14 h 58 minLe truc le plus sublime qu’ait pondu Sakamoto ces dix dernières années, à mon goût, c’est la BOF du Tony Takitani d’Ichikawa, d’après Murakami. Disponible en CD uniquement sur le Amazon japonais.