Bouh, Lapérouse, j’ai douillé grave…

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Paris, Lapérouse, lampe

Certes, il y a des adresses comme celle ci. Lorsqu’on pousse la porte, on sait que l’on va droit au strip-tease de sa carte de crédit. Au diable du reste les économies. On passe sa vie à en faire. Parfois, et c’est pour cela qu’on calibre, il faut oublier et se laisser aller. Soirée donc chez Lapérouse, petit salon et romance.

La dernière fois, je m’étais fait serrer sur le champagne proposé à l’apéritif et facturé à prix canon. Cette fois-ci, j’ai préféré naviguer vers un joli bourgogne (du reste, interchangeable) mais cette fois-ci, ce fut l’assiette. D’habitude, on prête un œil distrait à la prestation, la jaugeant en un quart de seconde. Mais cette fois-ci, alors que je faisais le malin, ma pupille est resté captée par la médiocrité de la prestation. Bah, cela arrive. Faut il le noter dans un petit coin de sa tête. De la vôtre également…

Paris, Lapérouse,viande

  • POUCHOL
    7 février 2014 at 23 h 23 min

    Une cote de veau à 56 € c’est scandaleux !

  • Jehan
    11 février 2014 at 13 h 53 min

    Une assiette bien terne, pas tirée à quatre épingle en plus. Une sensation visuelle de plat du dimanche, sans la verdure.

    Le Nuits est de chez qui si ce n’est indiscret?