Bon, le Figaro est vraiment courtois d'avoir consacré une petite vidéo pour le site.fr. Camille de Rocquigny s'est cogné un tournage alors quil pleuvait dru, a descendu l'échelle de meunier dans la boulagerie de Gontran Cherrier, puis a ouvert ses objectifs. Comme ça vous voyez mieux comment on a travaillé.
J'avais tatonné avec quelques éléments le plus simple possible, tout en respectant l'esprit du casse dalle: clarté et direct au buffet. Je suis venu comme un bleu dans la boulangerie. Et l'on a bossé en vitesse, pif pof, et toc! C'est comme ça que l'on va droit au but. Gontran avait raison de dire que la moutarde était de trop. Du coup, le sandwich devient plus simple. Combien de temps? Dix minutes, c'est dans l'immédiateté que l'on travaille le mieux. La pluie était encore dehors et je tenais une combinaison toute directe: beurre de yuzu de chez Bordier, shizo, jambon à l'os, sel à la prune et surtout sa baguette que je souhaitais <surcuite> (là, ça exprime à mort).
Après l'opération de chez Colette, le sandwich sera disponible chez Gontran Cherrier : 22, rue de Caulaincourt, dans le 18 eme. 4,50 euros.
Hipstagazine.com
3 novembre 2011 at 12 h 42 minSympatoche le ouiche de Cherrier !
Nous le préférons à celui de Colette.
Puis Gontran est très près de notre Hipstabulle…
Mais notre Hipstahéros es gourmandises demeure l’invisible monsieur Simon !
Viendra-t-il nous sauver ?
Thierry Richard
3 novembre 2011 at 16 h 08 minLa notion même de « Sandwich day » me gêne. Relisons Philippe Muray et son homo-festivus. A quand la journée de l’endive et celle du ravioli ? Pour le reste, heureusement le Velvet FS survivra à cette journée particulière et je pourrai m’en régaler en toute liberté quand bon me semblera…
Lizouille
4 novembre 2011 at 8 h 28 minC’est frustrant de ne pas pouvoir goûter! Tu m’en envoies un par la Poste?! Plizzzzzzzzzzzzz
Georges
5 novembre 2011 at 2 h 13 minLa promo pour le film avec les rats juste avant la vidéo sur le Sandwich, ce n’est pas une trés bonne idée…