L’adresse connait un beau succès et tant mieux pour Vivant (43, rue des Petites Ecuries, 75010 Paris. Tel.: 01 42 46 43 55). Mais là encore sévit le double horaire. Négociée à 19h45, il fallait libérer la table à 21h45. Accepté! Le repas se déroule normalement, très précis dans les saveurs, les cuissons (pas mal du tout) ; service plaisant. pas donné cela dit: 160€. Passé 21h30, nous avons presque terminé, reste juste un verre de vin à savourer avec plaisir lorsqu’on vient se poster devant notre table: <il faudrait la libérer, s’il vous plait>. Dans ces cas là, je m’excuse presque. Quatre couples attendent dehors (à qui, on a accordé 21h30)… Mais sur le trottoir, je trouve cela un brin désagréable. N’est il pas ?!
le 26 / 10 / 2012
Grand
26 octobre 2012 at 9 h 28 minEstimez-vous heureux que Monsieur Pierre Jancou ait daigné vous recevoir.
Milimalimaloue
26 octobre 2012 at 10 h 14 minParis change, non ? J’ai l’impression qu’on va de plus en plus au restaurant pour « faire » telle adresse ou tel chef, comme on « fait » l’expo du moment au Grand Palais.
On réserve des mois à l’avance.On fait la queue. Et on avale son menu unique en vitesse pour libérer la table.
Le chef a du talent : bravo.
Le sommelier fait bien son travail : génial.
Mais est-ce qu’on peut AUSSI passer une bonne soirée s’il vous plaît ? N’y a-t-il plus de plaisir, même pour les restaurateurs, à voir s’attarder des tablées joyeuses ou des couples doucement enivrés ?
Un provincial
26 octobre 2012 at 12 h 39 minBonjour
Ce n’est malheureusement pas le seul restaurant parisien qui pratique ce « surboooking » culinaire j’en fais la triste expérience à chaque séjour parisien.Il faut se faire une raison : le client « roi » a disparu des priorités.Il faudrait aussi que les critiques et bloggeurs gastronomiques que je respecte énormément valorisent l’assiette mais aussi le respect du client.
Serieux
27 octobre 2012 at 14 h 31 minDans ce cas là, il n’y a pas à se gêner : le contrat est clair : 21H45 c’est pas 1/4 d’heure avant. Messieurs de la salle, allez faire un tour et faites mois confiance : à 21H45, j’aurai quitté la salle et vous promets de ne plus y remettre les pieds.
Les cuisiniers qui donnent du plaisir sont assez nombreux à Paris et Région pour ne pas se faire em…… par des équipes à l’égo boursouflé et qui oublient ce que commerce, restauration et partage veulent dire. Du balai, tristes sires !