Comme j’aime arriver de la sorte en plein hiver. La plupart du temps, les touristes sont au chaud, au soleil. Pas ici. Raison de plus pour foncer vers ce genre de contrée, superbement débarrassée des interposeurs. Voici donc, Séoul livré dans le brut, la puissance, l’énergie d’une ville industrieuse. la cité n’est pas forcément gracieuse. J’étais pas dans le coin il y a cinq ans et lorsque je relis le papier , je me frotte les yeux. Bouh, quel spleen rêche (mais pas forcément faux), une insatisfaction née sans doute d’un temps gris, d’une perception trop frontale. Cette fois ci, je voudrais plus de paix, de calme, fut il ici d’une curieuse consistance.
Il fait froid et celui ci est poussé par un vent joueur. Demain matin, lever aux aurores pour rejoindre les montagnes. Je me suis arrangé pour être tout seul dans le train…
T. Tilash
13 février 2015 at 10 h 32 minUne petite recommandation comme ça, qui me passe par la tête… Essayez « Gangnam Myun Oak », pour des travers de bœuf (galbijjim) renversants. Ou si le genre grande cantine pleine de monde vous rebute, allez prendre un chadolbagi chez l’intimiste Bong San Jib… Et lorsque vous en aurez mare du bœuf, revenez vers moi, j’ai pleins d’autres recommandations sous la manche ! (mais j’ai également hâte de lire les votre !)
Pascal
14 février 2015 at 10 h 48 minNous y allons justement en mai prochain. Vous tombez à pic, monsieur Simon !
marie
18 février 2015 at 22 h 59 mince pays si peu connu et si agréable ! n’oubliez pas de mettre votre polaire et votre doudoune
A bientôt de vous lire