Pourtant, en voyant pointer le Soleil d’Austerlitz à l’horizon, je pressentais que j’aurai un repas joliment bien troussé, d’autant que je traitais un ami assez retors sur le chapitre de la table. Nous avions une petite faim, aussi nous nous sommes dirigés vers une salade. Celle ci présente l’originalité d’être servie dans un saladier en pain. A la bonne heure ! Hélas, j’ai eu la stupidité d’attaquer le plat comme il se présentait. Ce fut proprement dur, vraiment. Il y avait là une huile d’olive citronnée travaillée comme une mayonnaise. Franchement, c’était pas bon. Mais pas bon du tout. La présence du boeuf façon thaï ne valait pas tripette. Même la mousse au chocolat ramait à contre courant… Pfuit, l’animal d’ami en a profité pour se faire inviter. Double peine.
le 02 / 02 / 2015
marie
5 février 2015 at 11 h 28 minEncore un petit « bistrot entre copains » qui a tout faux ! l’essentiel c’est pas le décors mais le plat et celui qui l’a fait
quant à moi quand je ne suis pas satisfaite du plat , j’oublie le dessert ! à bientôt de vous lire