Dans l’exquise avenue Montaigne, irrésistible de shopping carbonisateur, les tables se font rares, et pour cause, on imagine tout de suite que le millimètre de canapé ou de croque-monsieur doit valoir le prix du diamant. Pourtant, ici et là, il y a quelques adresses bien troussées à l’instar de l’Avenue, de la Maison Blanche et de l’incomparable Relais Plaza, sans oublier le prévisible trois étoiles d’Alain Ducasse.
Et puis, au numéro 6, l’inusable Bar des Théâtres. Avait-il vraiment besoin d’être immortalisé dans Fauteuils d’orchestre ? Car il appartient à ces tables confites dans l’inconscient parisien. Précisément, allons voir dans quel état marinent les limbes de nos mémoires.
(Photo F.Simon)
françoisel
18 juillet 2007 at 13 h 19 minVous êtes unique dans vos appréciations…
quel bonheur de vous avoir découvert, un jour , par hasard….depuis ,bien sûr vous êtes dans mes incontournables et je me délècte de cette lecture …quand c’est bien , c’est bien et vous trouvez l’adjectif précis pour nous le dire et quand c’est nul,prétentieux (comme « le théâtre »…) vous savez nous faire sourire et nous détourner de l’adresse ….!
merci ,juste ,merci.
Thomas Clément
2 août 2007 at 8 h 34 minL’Avenue, « bien troussée » !?! Est-ce le terme adapté ?