Pour en finir avec le poulet : chez l’Ami Louis

Les Américains en sont dingues, les Parisiens hésitent entre l’ignorance et l’effroi des additions, L’Ami Louis appartient tout simplement à ce genre d’adresses trempées dans le métal. Le thème en est simple : résister à toutes les modes, rester bien droit dans ses bottes et conserver coûte que coûte (façon de parler) ce qui fit sa réputation il y a une cinquantaine d’années : grosses tranches de foie gras, poulet rôti pour deux, monceaux de frites et superbe carte des vins.

L’Ami Louis 32, Rue Vertbois, IIIe. Tél. : 01 48 87 77 48.

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  • stephane
    22 octobre 2007 at 15 h 45 min

    A ce prix la autant aller dans un gite et se le faire le poulet…

  • Archie
    22 octobre 2007 at 17 h 42 min

    C’est tout simplement une autre catégorie de restos, ceux où il ne faut pas aller si l’argent compte pour vous. A l’Amis Louis, il y a deux types de clients : ceux qui ne regardent que la colonne de gauche (les plats) et ceux qui ne regardent que la colonne de droite (les prix). Ces derniers sont là par accident, ils ont été mal conseillés, et ils auront beaucoup de mal à digérer leur repas. On leur fera discrètement sentir qu’ils ne sont pas à leur place, et en essayant de se donner une contenance ils passeront une mauvaise soirée. Les autres se sentiront comme chez eux.
    C’est drôle, en ce moment, vous avez l’air de rechercher des refuges de ce genre. C’est l’effet Fouquet’s ?

  • Votre aristarque
    22 octobre 2007 at 21 h 37 min

    Et ces deux bonnes bouteilles ? De qui le Corton ? En tout cas, la cave doit être pas mal car c’est la tanière préférée de l’ami Bob Parker quand il se pointe à Paris. Il porte régulièrement l’Ami Louis au pinacle de ses « meilleurs repas de l’année »… Des fois qu’on aurait des doutes sur ses goûts culinaires…

  • Parisbreakfasts
    23 octobre 2007 at 9 h 04 min

    As crazy American I’m with M. Stephane on this one. Better to buy the farm and raise your own.
    OUCH

  • georges
    23 octobre 2007 at 9 h 41 min

    J’ai eu la chance de bourlinguer à travers les meilleurs tables de France et du monde(trés souvent invité, Encore merci !)
    Mais je garde un souvenir tout particulier concernant l’Amis Louis, les visons roulés en boule sur les porte manteaux en cuivre et l’énorme portion d’admirable fraises des bois que j’ai dégusté ce soir là.

  • Aude
    30 octobre 2007 at 11 h 25 min

    A ce prix, j’espère que les poulets sont élevés en plein air, dorment sur des duvets et mangent des céréales bio ! Mais quand on aime… si, on compte quand même un peu 😉 excellent commentaire vidéo qui parvient même à nous faire digérer l’addition.

  • childeric
    21 décembre 2010 at 11 h 26 min

    idéal pour des américains abrutis voire aussi des français abrutis.
    Ca n’est pas parce qu’on a les moyens qu’il faut se faire enfler. Morale il y a des cons riches ou aisés et l’épaisseur de leur portefeuille ne doit pas masquer ou excuser leur mauvais goût.