Question restaurant à la mode, ce n'est pas trop compliqué. Pas de guide gastronomique en la matière, plutôt des repères comme Olivier Zahm, du magazine culte Purple. Son circuit est invariable: Lipp, Flore, Montana, Fidélité et ce dans tous les sens. On trouvera dans son sillage son casting sexy délivré dans un de mes blogs préférés: Purple diary. La Fidélité (ex KOH, ex Zingots, ex etc) respire dans un vaste décor de brasserie, une carte souriante (mozzarella tomates confites, joue de bœuf et legumes de saison, mousse au chocolat blanc), des patrons habiles (dont André, du Baron) et un casting a ne plus savoir où doner du flash : Kate Moss, Camille Bidault Waddington, Natacha Ramsay et voila. Ajoutez des lumières tamisées, du chien, du rire et de l’insouciance, voila comment on traverse la crise sans stress et avec strass. C’est insolent et finalement tres moral.
La Fidélité : 12, rue de la Fidélité, 75010 Paris (01.47.70.19.34). Comptez 40 euros. Map
papillon
11 avril 2009 at 13 h 57 minC’est vous sur la photo François??
Diable, vous me faites peur!! 😉
Pablo escobar
11 avril 2009 at 20 h 19 minMontana, Fidélité … film préfére 3 gram et album coke en stock ?
Eclair
11 avril 2009 at 21 h 18 minOuh la la faut pas mollir mais tout de même faut pas aller trop loin. Le copain du copain de Beigbeder ???? Un conseil jus de carotte et repos mon vieux
Sunny Side
12 avril 2009 at 8 h 36 minLa camomille ne connaît pas la crise …
lulu
12 avril 2009 at 19 h 53 minc’est un fan de mesrine?
Pradoc
13 avril 2009 at 19 h 07 minJ’ai eu l’occasion d’y manger, il y a deux semaines. L’endroit est très agréable, chic et féminin. Et le fumoir du sous-sol est à fréquenter en fin de repas pour terminer sa bouteille. Néanmoins, si la nourriture est bonne, elle n’est pas non plus inoubliable. C’est propre, plutôt bon mais rien n’explose. Il manque un vrai chef en cuisine pour obtenir la qualité du Chateaubriand (par exemple) qui au même prix propose une cuisine plus créative, plus audacieuse.
(Et la carte des vins n’est pas transcendante.)
Mais ça vaut le coup d’œil et de fourchettes, pour le côté resto new-yorkais, planqué en plein 10ème.
Enfin, ce n’est que mon avis, je ne suis pas critique gastronomique…
Gould
14 avril 2009 at 21 h 24 minhttp://thesartorialist.blogspot.com/2009/04/on-streetolivier-zahm-milano.html
Fabrice
15 avril 2009 at 3 h 06 minl’endroit est magnifique… la cuisine bof et chère…
Pascal
19 avril 2009 at 15 h 31 minFranchement, vu de Tokyo, cette tete de deterre avec ces lunettes ringardes, symboles du parisianisme dans toute sa splendeur, ca ne donne pas envie de rentrer. Avec une mode aussi triste, on voit que c’est la crise a Paris ! C’est une photo prise aux restos du coeur ? ;-))
sue
19 avril 2009 at 17 h 12 minOh la la, il a cette tête-là, maintenant, Olivier Zahm? Du style nerd psychorigide à cette panoplie de rock-critic années 70, ce mec aura vraiment tout essayé.
Pacadis et Eudeline clonés par un couturier branché.
Je vous croyais plus perspicace, François.
michel haddi
15 avril 2010 at 22 h 44 mince que j aime dans votre article c est peut etre de la brillance ce qui est detestable c est peux etre le manque d originalite de mr zahm qui ressemble plus a une vitrine du carreau du temple version 70s sans la verve et l energie de mr pacadis je trouve cela bien triste et dommage
flora
28 octobre 2010 at 0 h 06 minqui c’est?