Bon sang de bois, j'espère que ce soir vous allez vous planquer ! Sinon contravention, pruneau sur le parre brise, mise en quarantaine si vous n'avez pas devancé le tir. Pour ma part, c'est fait, je suis à Bruxelles avec mes deux anges. Là aussi, les coeurs fleurissent partout mais bon, l'averse devrait passer gentiment. Rien de plus vicieux que cette fête du bon sentiment avec les couples rangés deux par deux, comme dans un autocar: les dames sur la banquette sentant bon et les totos leur faisant face. Sans être démago, ce genre de fête se célèbre toute l'année..Pas vrai ?! cela dit, je me serais retrouvé tout seul à Paris, je n'aurais pas dit non à un solide tête à tête, cornes dans les cornes…Mais pas en public, ça c'est dégoutant…Room service et ah- non- pas- ça- party. Et un verre de chartreuse dans un joli verre…(photo DR et FS)
le 14 / 02 / 2011

kariboe
14 février 2011 at 16 h 07 minAllez-vous poster vos expériences bruxelloises?
sandra
14 février 2011 at 18 h 37 minCe qu’il y a de bien avec les chats, c’est qu’ils sauront toujours nous garder bien planqués à la maison les jours de Saint Valentin. Un chat qui s’en fiche du calendrier, Litz dans le tourne-disque, un bon vin. What else…? Bon oui, s’il y avait George dans le coin du canapé…
Claire
14 février 2011 at 18 h 54 minUn verre de chartreuse VEP dans un joli verre 🙂
emmanuelle
18 février 2011 at 11 h 36 minquelle chance j’aurais rêvé d’être à Bruxelles ce soir là mais sûrement pas pour la même raison, avec une chartreuse oui, la Tarragone de préférence. Oh quoique un verre d’eau ca allait aussi, corne contre corne. C’est drôle comme expression. Ah Bruxelles!!!
Caolila
27 février 2011 at 12 h 35 minEffectivement, la Saint Valentin au restaurant, c’est un désastre amoureux, un manque d’inspiration flagrant. La Saint Valentin, c’est coucouche panier à la maison avec un repas fait main. En plus, je n’ai jamais eu cette demande puisque l’on a tjrs fêté l’anniversaire de notre rencontre qui était… le 13 février ! et maintenant, notre anniversaire de mariage, le 6 février ! Ainsi, toujours de la place au restaurant et on évite les menus Saint Valentin où tout augmente sauf la qualité qui un soir de bourre à tendance à chuter. Je me rappelle seulement cette Saint Valentin à Langkawi, en Malaisie, au Tanjung Rhu Resort ( http://www.tanjungrhu.com.my ) : Toutes les femmes surtout anglaises avaient sorti leur plus belle robe longue aux couleurs bonbons anglais (on se serait cru dans une boite de Quality Street !), les hommes en costume sombre, le tout entrain de prendre l’apéritif sur la terrasse du restaurant gastronomique, sous une superbe nuit malaisienne, face à une des plus belle plage de notre belle terre. Pour ma part, j’avais réservé une surprise à ma choupie, certes qui serait ringard ce soir là mais bon, les clichés, ça perdure ! Un repas sur cette plage, sous un tivoli, avec fauteuils, nappe blanche, seau à champagne, aux lueurs du barbecue et des flambeaux ! ringard car ce soir là, tous ces gentlemens y auraient pensé… Eh bien ce soir là, pas de gentleman, qu’un seul gentilhomme, français de surcroit (cocorico !). Nous étions seul ce soir là sur cette immense plage, sous les étoiles, dans nos tenues en lin, aéré par une petit brise marine, à déguster langouste, poisson de la mer qui frôlait notre tente… En passant devant tout ce petit groupe de saintvalenténistes de pacotille, les regards envieux des femmes étaient bien marqués, et la mine des hommes penauds l’étaient encore plus… Le lendemain soir, la plage du Tanjung Rhu s’était transformé en camping : les tivolis se touchaient presque. Le romantisme à la française avait fait des ravages, j’étais devenu le french lover d’une semaine amoureuse… mais l’hôtel ne m’a pas versé ma commission !