Diner de Solidarité pour le Japon Au Restaurant Rue Le Bec, Lyon, 23 mai 2011
A l’initiative de Katsumi Ishida, et grace à l’engagement de chefs cuisiniers et de nombreux partenaires et bénévoles, un diner de solidarité envers les victimes de la catastrophe au Japon est organisé à Lyon :Lundi 23 mai à partir de 20 heures Restaurant Rue Le Bec 43 quai Rambaud – Lyon 2e
Cinq grands chefs de Lyon d’origine japonaise signeront le menu gastronomique (gardé “secret” pour la surprise) :Akira Nishigaki [L’Ourson qui boit]Amuse-boucheKatsumi Ishida [En Mets Fais ce qu’il te plaît]EntréeTakao Takano [Takao Takano]PoissonSugio Yamaguchi [Restaurant Rue Le Bec]ViandeTsuyoshi Arai [Au 14 Février]DessertLe diner sera suivi d’une vente aux enchères (bouteilles de vin, oeuvres, estampes japonaises de l’école d’Hiroshige) orchestrée par Georges Dos Santos (Antic Wine, Lyon).
L’intégralité des fonds récoltés (100 euros le diner par personne, le produit des ventes et des dons) sera versée à La Croix-Rouge Française en solidarité au Japon.Le nombre de couverts est limité à 250 personnes, par table de 10 personnes.
ALFELIS :09 54 40 93 65(10 h – 18 h)
Participation au diner : 100 euros par personne (réglement à l’ordre de : Catastrophe Japon 2011 – Croix Rouge Française) . Photo F.Simon.
Chris
24 mai 2011 at 9 h 44 minEXCEPTIONNEL !
Démarrage un peu tardif (le temps d’asseoir 250 personnes et d’expliquer à 74 autres que, non, elles ne pourraient pas manger ici ce soir) mais dès l’amuse-bouche, nous avons compris que la soirée allait être placée sous le signe de la générosité. Vignerons, vinificateurs, négociants, tous ont donné de belles bouteilles (de Fleurie à Gevrey, de l’Hérault au Cher en passant par la Gironde) que nous avons soit achetées aux enchères soit bues. Le cabillaud mi-cuit a disputé la vedette à l’Angus, le dessert (une tuerie à base de pétale de rose), … Bref, J’espère, Cher François Simon, que vous étiez parmi nous (je vous ai cherché du regard, en vain) et que vous nous ferez un petit papier sur cette soirée dont -je le dis sans humour déplacé- nous étions les grands gagnants.