Life is hard: ma thébaïde en plein Ouest

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Pour tout vous avouer, depuis une petite semaine, je suis en Bretagne dans une maison de famille. J'y ai emmené mes deux enfants et deux de leurs amis (Max et Lucas). J'y termine un livre de recettes pour le Chêne (< cuisine d'indulgence pour générations futures, 400 pages), un ouvrage très personnel avec quelques recettes et beaucoup de mansuétude. Je termine des papiers en retard pour l'Officiel Homme, Paladar (Sao Paolo), GQ…Bref, je décélère gentiment. Cette maison , non loin de Nantes, j'en ai fait une maison d'écriture avec notamment, perchée à six metres de hauteur, dans un très vieux chêne (300 ans), une vraie chambre donnant sur la nature. J'y ai dormi hier soir, dans le roulis des feuilles et des branchages. Ajoutez à cela un verre de vin blanc frais et quelques musiques idoines (Bill Callaham) et vous comprendrez que la vie est dure…(photo F.Simon)

Demain, je crois bien que Gould nous réserve une surprise pas piquée des hannetons…

  • sandra
    25 juillet 2011 at 19 h 32 min

    Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
    luxe, calme et volupté.
    C’est superbe un homme qui remonte à l’arbre, comme l’enfant qu’il était ou le primate qui l’a précédé. Profitez bien de ce retour perché au vert, M. Simon. Soyez en forme à votre retour, gatez-nous!