C'est avec le Grand Véfour, l'une des plus belles salles de restaurant de Paris. La cuisine n'y a jamais été fameuse, pourtant l'autre jour, je l'ai trouvée en progres. Ce n'est pas non plus le Pérou. Mais au moins, le régistre de brasserie de luxe est respecté avec un service plutot efficace. Le soir, c'est franchement magique. Gare de Lyon, O1.43.43.09.06. .
P.Sssssss....J'ai tellement imaginé un jour déposer, à l'instant du dessert, un billet de train pour Venise, avec départ immédiat pour la nuit, à une personne de choix...que j'ai l'impression de l'avoir réellement fait. Bien calculer son timing et prévoir dans un sac discret, une bouteille de prosecco glacée, pour accueillir l'émotion et l'ému(e).
(Photo F.Simon).
Je rêve du plan des billets au dessert ...
J'ai également le souvenir d'un tournage au Train Bleu avec un comédien anglais qui devait "croquer" les faux fruits de mer d'un magnifique plateau. Quel sacrilège dans ce lieu raffiné et, un peu, secret.
Rédigé par : eva | 03 octobre 2007 à 18:13
J'ai un faible (un poil pervers) pour la brasserie de la gare de Saint-Germain-des-Fossés, dans l'Allier, non loin de Vichy.
Rédigé par : BalthazarB | 28 septembre 2007 à 09:38
Quelle géniale idée... suis étonnée que vous ne l'ayez pas encore fait ... à l'arrivée allez dans l'ancien palais Contarini, on y loue des chambres. Cà change de l'ambiance tagada...Bonne chance à vous !
Rédigé par : sunny | 28 septembre 2007 à 08:03
OK Now I get it!
Remy is in your employ -
He is the one taking your photos
Excellent
Rédigé par : ParisBreakfasts | 27 septembre 2007 à 21:15
paris venise avec une bouteille de Prosecco, je confirme c'est bien. Avec un parfum d'interdit c'est mieux. Déjà le train semble être une planque, et toute la ville ensuite participe à l'accomplissement du supossé impossible. Venise n'est jamais si belle que lorsqu'elle abrite les amours "illégales". Tiens ?, pourquoi pas le chemin inverse, le train bleu après. Vous pensez que l'assiette en vaut la peine, a posteriori?
Rédigé par : emmanuelle | 27 septembre 2007 à 13:19
Pour Jean-Pierre Léaud, pour Bernadette Lafont, pour "La Maman et la Putain", ça mérite un pèlerinage de temps en temps.
Rédigé par : Gould | 27 septembre 2007 à 11:24
C'est tout le miracle de l'endroit, l'incitation au départ, le sentiment d'être là et d'être presque ailleurs, le romantisme des quais de gare et des plafonds peints. Mais l'assiette...
Rédigé par : Chroniques du Plaisir | 27 septembre 2007 à 10:58