Tous les deux ans, nous déjeunons ensemble. Cette fois ci, c'était au Benkay, de l'hôtel Novotel (ex Nikko).
C'est toujours passionnant. Un peu comme un prisonnier et son gardien. Qui est le prisonnier ? Qui est le gardien ? Bien malin qui pourrait le dire...
On parle de tout. Et cette fois-ci, j'en ai profité pour faire une longue interview qui passera dans le Figaro à la mi-novembre.
Vous allez me dire que c'est un peu paradoxal de travailler incognito et de rencontrer Joël Robuchon. Je ne sais pas quoi vous répondre. Si ce n'est: et alors ?!
(photo F.Simon)
A suivre: départ pour Tokyo et Osaka, la préparation du diner Fooding, des tas d'adresses...
... bientôt on lira un bon papier sur l'atelier à Tokyo, et alors ?
Rédigé par : Bob L'éponge | 07 novembre 2008 à 20:21
en novembre, à l'hotel Métropole de Monaco, va ouvrir : " Yoshi, un restaurant japonais imaginé par Joël Robuchon, cuisine dirigée par Takéo Yamazaki, sous l'égide de Joël Robuchon et Christophe Cussac, Chef des Cuisines de l'hotel " d'après un dépliant de l'hotel. En avez-vous entendu parler? je n'habite pas très loin, et l'actuel restaurant Robuchon du Métropole est mon préféré (j'y étais encore hier soir !) de tous les restaurants de Nice à Menton (je suis allée 3 fois au Mirazur et franchement, c'est très surcoté et une vraie arnaque rapport qualité/prix).
Rédigé par : Annie | 26 octobre 2008 à 13:14
moi j'aime bien le paradoxe etj'aime bien françois simon aussi. ceci explique peut-être cela.
Rédigé par : emmanuelle | 26 octobre 2008 à 11:55
no comment
Rédigé par : adrian | 25 octobre 2008 à 20:51
J'aimerais bien déjeuner avec Joël Robuchon. Et avec vous aussi, d'ailleurs. ;-)
Rédigé par : Marie-Claire | 24 octobre 2008 à 21:46
Le paradoxe n'est que la manifestation de la liberté de pensée qu'il nous reste : mais de quoi avez-vous parlé, hormis l'interview, sans doute pas du tout paradoxale ?
Rédigé par : Jacques Perrin | 24 octobre 2008 à 21:41
Le paradoxe n'est que la manifestation de la liberté de pensée qu'il nous reste : mais de quoi avez-vous parlé, hormis l'interview, sans doute pas du tout paradoxale ?
Rédigé par : Jacques Perrin | 24 octobre 2008 à 21:40
Le paradoxe n'est que la manifestation de la liberté de pensée qu'il nous reste : mais de quoi avez-vous parlé, hormis l'interview, sans doute pas du tout paradoxale ?
Rédigé par : Jacques Perrin | 24 octobre 2008 à 21:40
Plus rien ne nous étonne... sauf certains Scoops "Confidentiel" (Cf Gault & Millau)...
Tout comme Thierry, je n'ai pas pu m'en empecher... :-p
Rédigé par : stephane | 24 octobre 2008 à 20:37
Une burkha... Allons, une petite mosaïque ou un léger flou sur le visage suffit, comme au bon vieux temps de RDRG.
Rédigé par : Véronique Deshayes | 24 octobre 2008 à 11:25
bah, François, la prochaine fois, je vous conseille une Burkha, comme ça vous resterez incognito!
Rédigé par : Chrisos | 24 octobre 2008 à 10:35
Je me souviens,il y a une vingtaine d'année
d'un déjeuner au NIKKO. Rebuchon qui débutait, n'était pas encore connu.
C'était renversant. Une cuisine venue d'ailleurs.
Rédigé par : Candide | 24 octobre 2008 à 10:16
C'est un peu paradoxal de travailler incognito et de rencontrer Joel Robuchon !
(ah ah ah)
Vous auriez été déçu si je ne l'avais pas faite celle-là n'est-ce-pas ? ;-)
Rédigé par : Thierry Richard | 24 octobre 2008 à 08:55