Tokyo. Faut il déglinguer le Michelin ?!


bibendum4

C’est une tentation légitime lorsqu’on voit le boycottage de certaines adresses et l’oubli d’autres. Il y a là comme un malaise à voir cantonner à une étoile un chef aussi nickel que Thierry Voisin, aux Saisons, à l’hôtel Imperial. Cette adresse évolue clairement entre les 2 et les 3 étoiles (le chef officiait aux Crayères avec Gérard Boyer, trois étoiles)  et par un « mystérieux » pliage, l’adresse stagne à une étoile. Du coup, a t on envie d’aller plus loin dans la lecture de ce guide. La réponse est claire: non ! Les autres années, j’étais très remonté.Maintenant, je commence à piger…