Apres avoir dîné au Locanda Verde, j'ai longuement marché dans la ville. New York est ainsi, elle suscite des promenades interminables. Parfois, je m'arrête après trois heures, repu.
Je ne voulais pas rentrer à l'hôtel, j'attendais plus de la ville. Alors je suis allé souper. Je tenais une adresse de Prosper et Martine Assouline. Une table hors guide: le Monkey bar ( 60 East, 54th st; 212.308.2950). J'y suis allé comme ça et j'ai pu décrocher une table. J'ai bien aimé ce restaurant qui ne présente pas un gros intérêt gastronomique mais qui dégage de belles atmosphères.
Frédéric Malle me disait que la dernière fois où il y était allé, la salle qui pourtant bruisse copieusement, s'est soudainement tue. Madonna entrait. Ce soir là, je me suis tu. Mais elle ne vint pas. J'étais bien au dessus de mon saumon de rivière et d'un verre de vin blanc italien. Il n'en fallait pas plus. Ah si, le livre sur Truman Capote, de George Plimpton (arléa), une "biographie orale", c'est à dire faisant se succéder des témoignages. Vraiment bon. En ressortant, j'ai photographié l'escalier qui me plaisait bien. Ensuite, je suis reparti me coucher… Map
Gould
8 juillet 2009 at 9 h 54 minName dropping will kill you 😉
vincent
8 juillet 2009 at 10 h 03 min« Ah si, le livre sur Truman Capote, de George Plimpton (arléa), une « biographie orale », c’est à dire faisant se succéder des témoignages ».
Il a fait la même chose avec Edie Sedgwick, en collaboration avec Jean Stein. J’ai beaucoup aimé.
Sunny Side
8 juillet 2009 at 21 h 14 minCe merveilleux petit livre à mettre ds la poche « Le goût de NYC » au Mercure de France avec des extraits de tous ceux qui ont écrit sur NYC !
la flore et la faune
9 juillet 2009 at 11 h 48 minwaow, l’escalier en zèbre… tu m’étonnes que Madonna aime l’endroit.
Richard CORDERO
8 août 2009 at 11 h 48 minLe meilleur hamburger de New York, peut-être, très bon en tout cas : Hôtel Parker Méridien, caché derrière un rideau rouge …