Il vient de sortir avec un gros déploiement de communication. Les trois étoiles pour Ducasse et Le Squer, certes, certes. Un gros travail de partout, mais c’est curieux je n’arrive plus à entrer sur ce navire. Sans doute pour ses oublis multiples, sa volonté de n’accepter qu’une cuisine obéissante et d’ignorer les tempéraments. Du coup, je me sens presqu’exclu. Ce n’est pas grave, il nous renforce sans doute à être plus nous même: à créer notre micro gastronomie faite de proximité, de fulgurances et de coups de coeur. Je la préfère ainsi, joliment partielle. Et non impérieuse, gendarmesque.
clement
10 février 2016 at 19 h 25 minJe partage votre réaction sincère et orpheline…On n’a guère plus envoe d’y plonger, dans ce Michelin, et on le regrette car c’était tout de même si bon, l’attente, l’excitation de dernière minute, les annonces, les « c’est un scandale »‘…Mais voilà : le Michelin, cette année encore, cache sa poussière sous un tapis magique de mise en page…Misère, je ne ressens plus rien du tout, comme vous, misère !
By the way/ vos photos sur Instagram sont renversantes de beauté, j’adore et j’en veux encore !
Bien à vous