Miam Miam Miami !

Après quelques hôtels choisis par Mylène, à présent passons à table…

Miami Johnny RocketD’abord ce qu’il faut savoir, c’est qu’il faut TOUJOURS réserver, sauf si vous voulez aller chez Johnny Rocket ou Chuck e Cheese. Et si vous sentez l’hôtesse hésitante, suggérez à votre copain (s’il est français) de dire qu’il est l’un des chanteurs de Daft Punk (ou le
chauffeur de scooter du président mais ça risque d’être moins efficace).

Le Zuma : c’est l’un des meilleurs restaurants de viande de la ville d’après mon ami John (Le prince de Fishers Island), et nous n’avons jamais pu y aller. Par 3 fois, seulement 2 horaires nous ont été proposés, au choix : 19H ou 22H30. Entre les 2, mieux vaut avoir un nom/sésame. Pour le coup je ne peux rien en dire si ce n’est que le désir de m’y rendre un jour n’en est que plus grand.

Mandolin, c’est le restaurant préféré de John et là nous nous sommes régalés. C’est frais, bon, simple et la lumière est parfaite.
Miami lagune MD
Pour un dîner en amoureux le spot c’est Smith et Wollensky, le restaurant se trouve au bord de l’eau face à l’île de Fisher Island. Là pour le coup, c’est bien d’arriver très tôt pour deviser ou
s’enflammer devant le coucher de soleil qui tombe entre 18H et 18H30 en cette saison. Petit glass of Chardonnay en apéro et dîner bon, mais trop. Portion à l’américaine donc n’hésitez pas à demander un doggy bag. Ce qu’a fait John.

Le Prime One Twelve, c’est un restaurant mignon, tout au bout de South Beach, sur Ocean Drive, où les célébrités ont la priorité. Mais sans réservation nous avons été envoyés au sister restaurant : Le Prime Italian, Délicieux, frais où dès votre arrivée on vous apporte un gros pain chaud grillé avec du fromage fondu dedans. Après si vous avez commandé autre chose c’est tant pis pour vous. Il ne vous reste plus qu’à aller faire la sieste.
Miami, Juvai
Le Juvia (ci dessus) , toute la folie de Miami se retrouve dans ce restaurant aquarium à la vue époustouflante. A l’intérieur, des petits poissons jouent à se faire attraper dans les mailles du filet. La musique, les cocktails, les rires, tout est trop fort. La plupart des femmes ont les seins très serrés sur les côtés et découverts sur le devant, << pff ils sont en plastic et sûrement un peu carrés >> dis-je perfide et agacée par le regard hypnotisé des hommes. Et la cuisine ? Je n’en ai aucun souvenir, je sais juste que dans ce décor on s’en fout !

Comptez un peu plus de 50$ par personne. 1111, Lincoln Road, Miami Beach. Tel.: =1 305. 763.8272.
Pour le déjeuner, voici un super bon asiatique : Origin ; C’est
délicieux mais ne cherchez pas à savoir si c’est japonais, chinois ou
thaï, c’est bon, point. 200 Crandon blvd Key Biscayne 305 365 1260

Mention spéciale pour la pire Ceasar salad de toute ma vie : elle est
servie à l’hôtel le Raleigh ; Elle est composée de vieux croutons,
reste de pain grillé et de kale, vous voyez ce chou frisé soit disant
comestible (on a l’impression de manger une branche d’arbre) qui
connaît un grand succès à la faveur d’un marketing efficace.

A part ça Miami, en plein hiver (27°) et à 2h30 de vol de New York,
(-2°) c’est quand même pas mal.

Faut-il y aller ?
En courant !

  • Annie
    18 mars 2014 at 13 h 10 min

    nous avons adoré Juvia ! nous nous sommes régalés avec cette cuisine fusion péruvio-japonaise (!), les cocktails sont top, et l’ambiance de folie ! mais c’est vrai qu’il vaut mieux être sur la terrasse, c’est moins bruyant.
    Beaucoup aimé aussi Smith & Wollensky.
    le bar sur la terrasse et le restaurant Bazaar de l’hotel SLS sont aussi fabuleux !

  • Happy Q
    18 mars 2014 at 13 h 39 min

    Oui j’aurais pu en effet rajouter le restaurant de l’hôtel SLS qui est d’abord spectaculaire par sa décoration grandiloquente. Son plafonnier de cire, ces livres en trompe l’œil, sa hauteur sous plafond, on a l’impression d’être le figurant d’un film qui se tourne. Les serveurs virevoltent tout en entrechats, et l’assiette apparaît, énorme disque plat sur lequel est posé un petit truc pas mal, mais un peu chichiteux pour être vraiment pris au sérieux. Mais c’est beau, c’est bon et pour une fois on peut se parler sans hurler.