Hexagone: être ou ne pas être (là)…

CLEMENT

cher Adoré Monsieur simon, moi, c’est le vendredi, le jour ou je suis de mauvais poil…Et je me permets un commentaire constructif et quoiqu’un peu irrtié. Je trouve que 2 minuscules lignes en fin de chronique pour parler de ce qu’on mange, dans un restaurant, en l’occurrence chez Pacaud, deux petites lignes « en passant », c’est un tout petit peu léger… Monsieur Simon, pourriez-vous en parler un peu plus dans votre prochaines chroniques, de la cuisine, des saveurs et des émotions qu’elles produisent, comme dans « la cuisine est un sentiment ?  » . Vous faites des commentaires sur le fait que M. Pacaud, dont le pedigree ne m’intéresse pas outre mesure (son reaurant si !), C’est un fils à Papa, on a compris, ainsi que les autres allusions aux étoiles conservées… Les histoires ethnocentriques de happy fews du milieu gastronomique parisien déteignent trop fort sur vous, l’électron plus si libre, il me paraît…Et puis après tout, Aléno, Frechon et tant d’autres ne sont pas non plus présents dans leurs formidables annexes (Le Lazare !), mais ils gagnent un peu d’argent tout en démocratisant une bonne cuisine de bistrot pour nous, les moins happy fews, et tout le monde s’y retrouve, alors pourquoi attaquer ce pauvre Pacaud ? simplement parce qu’il est le fils de son père ? Parlez nous de la table, très cher Monsieur Simon, revenez-nous libre, poête et au-dessus de la mélée ! Avec toute mon estime et ma reconnaissance d’une grande fan.