Palerme. Va t on déglinguer cette épatante trattoria Piccolo Napoli ?!!!

DSC02165Qu’est ce que l’ai aimée celle-là ! J’aurais pu la placer ma meilleure table au monde tant elle était adorable et bonne; J’y suis retourné avec des airs de matador (tu vas voir ce que tu vas voir!!). Et là, malaise. Que s’est il donc passé ? Pas un chat. Plein de plats barrés à la carte. Le patron furieux pour une bricole informatique, ruminant et pestant, agonisant le ciel. Hou bon dieu. Même les fritures de poissons avaient peur… Elles tremblotaient et pour tout dire lorsque les vibrations sont mauvaises dans un restaurant, si le poisson rouge grelote et le serveur broie son noir, je fais pareil. Les pâtes au vongole passaient à moitié. Je suis reparti orphelin…Bouh. IMG_2200 Cela dit, il m’arrive de ne pas avoir de chance… Prix toujours minuscules ! Tel.: 091. 320 431. IMG_2199

  • Sandra et Claude
    20 septembre 2015 at 0 h 58 min

    Réponse de mon ami Frédéric hier à la question : « Est-ce à la hauteur de mon souvenir de 2011 ? »

    Formidable!
    Ça a pourtant mal commencé : le patron et les serveurs courent dans tout les sens sans réelle efficacité. En désespoir de cause la patronne prend les choses en main en même temps que notre commande… Et leur rappelle au moins cinq fois que nous attendons notre bouteille de Syrah (… Au demeurant excellente lorsque qu’elle arrive de la cave une 1/2 heure après).

    Finalement la machine se met en marche et là… C’est un festival : les meilleures aubergines grillées que Nadine ait jamais mangées, un carpaccio de calmar et crevettes crues pimenté d’exception, des spaghettis à nero di sepia d’un académisme sans faille et les même spaghetti au fenouil et à la sardine pour Nadine.
    … C’est simple notre table est réservée pour demain.

  • Madame Ganache
    8 décembre 2015 at 15 h 40 min

    De passage à Palerme après Noël, je viens de lire votre article sur cette trattoria de 2011, et je tombe sur celui-ci. Quelle chute! J’étais déjà en train de regarder comment m’y rendre depuis mon hôtel. Mais je suis prête à aller tenter le diable, et vérifier si effectivement vous n’avez pas eu de chance. Espérons-le.