C’est tout de même cocasse, le cappuccino à Paris est sans doute le plus maltraité des compositions bistrotières. Partout, c’est bâclé ! Il y a bien quelques réserves (auxquelles, il fait ajouter entre autre le Caffé Stern), mais le reste du temps, c’est paresse et nullité.
Même dans les grandes institutions comme l’Hyatt Vendôme, malgré quelques chocolatines en renfort, le cappuccino ne décolle pas. Juste un café au lait avec une vague mousse sur le dessus.
Le prix lui a de la haute tenue. Vous êtes assis ? 14 euros.
Revedor44
29 juin 2015 at 17 h 03 minLe mien est excellent.Il faut juste passer…….
maremmani
1 juillet 2015 at 13 h 31 minbjr a tous, oui comme d’habitude le calcul a la va vite a notre epoque est la norme obligatoire, mais je dirais a tout ces idiots qui sont plus comptable que restaurateurs que si la France est parvenue au firmament de la cuisine mondiale a une epoque c’est que la phylosophie du travail était tout autre … a prendre les gens pour des idiots on en voit le resultat !!!!alors messieurs les professionnels de la restauration formrz de vrais cuisiniers et si vous argumenter sur les charges de personnel trop cher ce qui est vrai, alors faites des choses simples mais de grandes qualitees , faire tres bon et pas cher croyez moi ca existe c’est meme ce qu’on faisait avant !!!!
marie
1 juillet 2015 at 14 h 45 minUn cappuccino pareil ne peut que nous « énerver » ; le degré zéro du rapport qualité /prix ;
on peut quand même leur accorder qu’il faut un peu plus de temps pour faire un cappuccino qu’un simple café ;
(le prix à payer!)