Je ne sais pas pourquoi, mais le lundi, il faut que je déglingue…

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 Les bouchons, l’art de les faire sauter…

Le voyage est un drôle d’animal qu’un rien ne chamboule. A commencer par les bouchons. Qu’ils soient piétonniers, automobiles… il y a toujours ce genre de décélérateur qui vous embrume un voyage. Les masses de touristes à Rome, rue Saint André des Arts, à Paris;  les automobiles à Rio, à Pékin, sur les autoroutes… Pourtant, rien n’est plus simple pour éviter ce genre de tracas. Aménager le contrepied. Et c’est toujours un bonheur. Le mont Saint Michel à 6 heures du matin, c’est féérique; à 19h45, c’est sublime. Pareil à Rome, aux premières heures, à la fraîche, tard la nuit. Après lorsque tout le monde arrive, on repart tranquillement se planquer. Musées oubliés, ruelles de la pénombre (à Cancale, c’est pareil, il suffit de 50 mètres pour retrouver le calme), routes nationales. Le voyageur est un genre à réinventer…

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  • popof
    25 mai 2015 at 16 h 16 min

    Ou Prague en Novembre. Vous y croiserez Vincent Gallo seul à une table.