Allez savoir pourquoi, mais ce jour de la semaine, vous avez envie d’envoyer tout balader. Et je ne vois pas pourquoi, je m’en priverai, pas vrai ?!
Parfois un détail incongru vous réveille dans votre repas. Nous sommes chez Saturne, temple de l’excellence pastorale, avec sa clientèle appliquée et heureuse d’être à une telle adresse lorsque l’on a la mauvaise idée de se resservir du vin. Pigez un peu la carafe hautement jolie, gaulée comme une théière et si belle en son esthétique élancée. Parfois les arts de la table nous délivrent ce genre d’ovni magnifiques et siglés mais l’usage est parfois ingrat et trahit le dessein. C’est ce qui m’arriva. Pourtant en versant délicatement, le vin partit à gros bouillons avec un charmant bruit de déglutition. il n’y a pas de quoi non plus en faire tout un fromage, nous sommes lundi et la semaine devrait être exquise. En milieu de matinée, je vous posterai une vidéo qui devrait vous mettre en joie. Elle nous est adressée par Nicolas S.
Guichard
27 avril 2015 at 12 h 08 minNe s’agirait-il pas plutôt – le lundi – de dézinguer ?
Mais, bon ! Tout lasse dans la langue française, tout passe… comme le café !
Oli
27 avril 2015 at 17 h 42 minC’est un Ovarius, ce n’est pas une théière, il faut servir en penchant sur le coté pour toujours laisser un filet d’air entrer dans la « bête ». Avec un peu d’entrainement, c’est un jeu d’enfant
abépé
28 avril 2015 at 1 h 47 mineh oui …mais malheureusement c’est votre inculture qui vous fait défaut.
Il ne s’agit pas d’un objet maniéré, supposément théière, ni même d’une lampe où se cacherait un génie malicieux, mais bel et bien un Ovarius, qui n’a d’autre fonction que de vous délivrer son nectar, à sa meilleure expressio, sans carafage préalable. Mais exposer votre ignorance parfois stupéfiante ne vous rend que plus humain et honnête. Et finalement une leçon d’humilité pourra aussi calmer votre ardeur à la contemplation de votre propre superbe et permettre une ouverture vers de nouveaux horizons. Il reste toujours à découvrir, même pour vous Oh grand M.Simon
Tonio
28 avril 2015 at 12 h 46 minM Simon, vous auriez dû faire confiance au service sympathique de Saturne et ne pas prendre des risques.
Bien à vous.
Guichard
28 avril 2015 at 13 h 10 minNe serait-ce pas plutôt – en bon français – la culture qui fait défaut, oh ! Grand Monsieur Abépé ? Quand on porte un nom de pétrolier on est un peu plus modeste en parlant de carbure.
Mme de Sevigné avait dit au sujet du succès de Racine : » Il passera comme le café « . Bof ! Les critiques coulent sur Maître Simon comme un nectar trop gouleyant.
abépé
28 avril 2015 at 15 h 58 minun peu de tendresse, mon vieux …(désolé c’était trop facile), d’autant que mon « pseudonyme » n’a aucun rapport avec le pétrole mais vous laisse délirer et chasser les moulins. Pour autant, M.Simon serait se défendre seul, mais son élégance et sa bienveillance (que je souligne d’ailleurs) lui auront fait me répondre avec sympathie sans votre fiel futile. J’applaudis cependant ce bel exercice d’étalage gratuit de ….culture? Cela reste un onanisme intellectuel exhibé. De la à vous proposer un duel à phallus « tirés » comme nos cousins les bonobos….
Pour éviter toute réplique inutile et polluante, je salue une fois encore votre ton et votre curiosité toujours éveillée et justement pas satisfaite. おめでとう M. Simon
alain
1 mai 2015 at 16 h 04 minCa alors ! le gars « abépé » laisse des commentaires un peu partout depuis peu, et toujours pour contester l’auteur.
histoire de lancer la polémique
Comme un certain G.P. en son temps et qui avait heureusement disparu des radars.
Assiste-t-on au retour de Poirot ??
abépé
3 mai 2015 at 0 h 44 minpartout? contester? hum well well
en tout cas précédemment ce n’est nullement le cas, relisez et révisez.
Je salue au contraire la qualité de Francois Simon, et contrairement à beaucoup d’autres critiques, de ne pas mettre d’autre filtre que celui de son apparence. Sinon, il nous livre défauts comme qualités, connaissances comme ignorances, réussites comme ratés. C’est pour moi la définition de l’élégance que de pouvoir être sans paraitre mais se livrer avec honnêteté.