Rome: 2eme étape chez Roscioli

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Après l'apéritif, avec Fulvio Pierangelini, dans les jardins de l'hôtel de Russie, nous sommes allés en taxi à l'épicerie-restaurant Roscioli ( 21-22, via dei Giubbonari; www.anticofornoroscioli.com; 06 687 5287). Là bas, Fulvio est accuellli comme le messie. Soudainement, la table qui était tranquille se voit bombarder avec des produits de première qualité: mozzarella artichauts, jambons, pasta, tartare, c'est à peine si l'on arrive à articuler. le lieu est parfait à utiliser à partir du bar. Jolie clientèle et ambiance si enjouée. Rome donne à fond: jolies femmes, sensualité de fin d'été… et bons vins servis en rafale. (Photos F Simon)
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  • Claire
    8 septembre 2009 at 13 h 18 min

    Superbe – les artichauts sont d’une beauté éblouissante. Après Séoul et le Vietnam, décidément on monterait bien dans vos bagages 🙂

  • so
    8 septembre 2009 at 14 h 08 min

    Des pages de Nicolas Fargues dans « J’étais derrière toi » disaient bien, aussi, comment les italiens sont les rois de l’instant, quand tout est juste.

  • Dorothée
    9 septembre 2009 at 0 h 39 min

    Mon Dieu ces artichauts -mon légume préféré- ont l’air merveilleux….
    Vous aimez la burrata?

  • Sunny Side
    9 septembre 2009 at 8 h 27 min

    Art de vivre !!!

  • la flore et la faune
    9 septembre 2009 at 11 h 57 min

    argh, l’assiette de rêve…

  • Jean-Philippe
    9 septembre 2009 at 14 h 56 min

    Là, je sens monter un sentiment de jalousie..

  • marie
    12 septembre 2009 at 7 h 51 min

    une merveille cette épicerie. les vieux parmesans à l’entrée les fromages à la truffe. j’avais dévalisé cet endroit avant mon retour à Paris

  • Gould
    4 juin 2010 at 17 h 32 min

    Testé et approuvé!
    Quoiqu’un peu réservé sur les prix : du niveau d’un restaurant de belle tenue alors que nous ne sommes que dans une épicerie haut de gamme. Mais ne boudons pas notre plaisir.

  • Louis-François
    23 février 2015 at 18 h 19 min

    J’y ai mangé récemment les meilleurs carbonara de ma vie. Je ne pouvais m’empécher de rire en dégustant les morceaux de joue de porc, tellement ils étaient croustillant et plein de gout. Un bonheur.